- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 03 – Le mystère de la Zone Z
Henri Vernes, Gérald Forton
Bob Morane 03 – Le mystère de la Zone Z
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Vous aimerez aussi
Les héritiers de l’avenir – L’éléphant blanc
Vissarion, Klim, Stiopa, — trois hommes vieillissants, adossés à une telle richesse de souvenirs que l’ombre de leur passé les écrase. L’épreuve du bagne sibérien, qui aurait pu modifier leur caractère, n’a fait qu’accuser les traits essentiels de chacun. Fidèles à eux-mêmes, ils affrontent une nouvelle vie d’hommes libres, dans un tragique dépaysement. En vérité, l’univers qui les entoure leur est tellement étranger qu’ils n’y fréquentent presque personne. Réfugiés dans leur appartement misérable, ils tournent sur eux-mêmes dans une atmosphère confinée, se heurtent, se déchirent, se réconcilient. Drames minuscules crevant comme des bulles fétides à la surface d’un étang, tristes manies de la sénilité, nostalgie de la patrie perdue, folle poursuite d’un rêve inaccessible, tout cela constitue l’ordinaire de la maison.
Les clés du royaume
Nous suivons ici la vie du Père Chisholm, né d’un père Protestant et d’une mère Catholique, il va en devenant prêtre souvent se heurter à l’étroitesse d’esprit et le dogmatisme de l’Eglise Catholique, à laquelle il consacrera pourtant sa vie. Adolescent et novice, son cœur balance entre son amour pour Dieu et Nora, sa douce cousine. Les vicissitudes de la vie conduiront Nora, fille-mère, au suicide. Sous le choc, Francis part en Espagne en séminaire et commence sa carrière de prêtre d’abord en Ecosse et ensuite en Chine, où il passera presque toute sa vie. En Chine, il devra bâtir sa mission de zéro, sans aucune aide financière de son diocèse. Il sera confronté à une épidémie de peste et à une guerre intestine mais il tiendra bon et protégera ses ouailles contre vents et marées…
Les magiciennes
« Ce fut un peu avant midi qu’on frappa à la porte. Odette était sortie. On frappa de nouveau et la porte s’ouvrit. Ils étaient deux, en gabardine, le feutre sur l’œil et les mains dans les poches.
– Pierre Doutre ?
– C’est moi.
Ils s’approchèrent lentement, chacun d’un côté du lit. Ils étaient tels que Doutre les avait imaginés, dans ses rêves. Ils n’avaient pas l’air méchants. Ils étaient solides, compacts. L’un des deux, le plus grand, avait une curieuse cicatrice qui courait sur sa joue gauche, comme une fêlure. Ils sentaient le mouillé, la rue, le réel. Doutre se renversa doucement sur son oreiller et sourit.
– Je vous attendais, murmura-t-il… Je vous attendais depuis si longtemps !… »
Julie de Carneilhan
Un studio dans un quartier populeux et commerçant, des meubles disparates dont certains de prix, une garde-robe nagère belle qui réclame impérieusement des soins attentifs pour masquer son usure tout dit que la maîtresse du logis a connu de meilleurs jours; pourtant on aurait tort de croire que ses revers de fortune l’ont abattue -la comtesse Julie de Cameilhan est de cette race solide qui ne plie devant rien, peut-être même pas devant l’âge. Qui lui donnerait les quarante-cinq ans qu’elle avoue orgueilleusement ? Il y a cependant un défaut dans la cuirasse de cette belle amazone. Est-elle jamais guérie d’avoir aimé le comte Herbert d’Espivant, son second mari remarié depuis trois ans déjà avec la riche Marianne ?