- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 26 – L’empreinte du crapaud
Henri Vernes, William Vance
Bob Morane 26 – L’empreinte du crapaud
La jeune fille avançait vers le marais comme poussée par une force irrésistible.
On pouvait à présent distinguer l’étrange visage de l’énigmatique batelier qui semblait l’attendre dans la brume.
Soudain superstitieux comme tous les Ecossais, Ballantine eut un mouvement de recul :
— Ah ça, commandant, est-ce que ce serait…
— La mort, fit Bob Morane. Non, Bill, tu sais bien que la mort porte une faux. Or le guignol qui s’avance vers nous tient une gaffe.
Une nouvelle fois le redoutable rire monta dans la nuit. Chacun de ses coassements résonna tel un coup de gong.
Morane et Bill passèrent à l’action.
Vous aimerez aussi
La science face aux extra-terrestres
Que se passera-t-il le jour où nous entrerons en contact avec une civilisation extra-terrestre? Question doublement fascinante. D’abord parce qu’elle implique l’existence d’autres vies dans l’univers. Et c’est un pas important dans notre compréhension du cosmos. Ensuite parce qu’elle n’écarte pas la possibilité d’un contact direct entre « eux » et nous. Or, ce n’est pas un auteur de science-fiction qui a soulevé ce fantastique problème. Non. Ce sont tout simplement des exobiologistes, des sociologues, des astrophysiciens, des psychologues, bref, des savants bien de chez nous avec leurs diplômes et leurs certitudes.
Un chien de saison
Le jour où un célibataire tranquille et discret accepte de prendre en pension, pour trois semaines, le chien de son meilleur ami, sa vie est bouleversée. Néron, boxer bringé, espiègle mais fidèle et tendre, devient vite, avec ses quarante kilos de muscle et de malice canine, un compagnon envahissant. Ceux qui ont connu ou vivent au quotidien la complicité très particulière que l’on peut établir avec son chien apprécieront ce roman humoristique, empreint d’une grande tendresse. Maurice Denuzière y peint aussi la solitude du cœur et la fragilité des sentiments. Auteur de trois grandes fresques historiques (Louisiane, Helvétie, Bahamas), il montre ici la diversité de son talent.
La vieille dame de Djerba
Lorsque Joseph Joffo rencontra la vieille dame de Djerba, elle lui dit s'appeler Liza. Et il l'écouta… Il l'écouta lui raconter ses multiples vies depuis la nuit des temps, l'histoire du rebbé Avram et celle de lenkélé le marchand d'étoffes, celle du roi qui voulait la mort des oiseaux et celle de Sabine qui aimait un pingouin…, etc. Ces récits, frais et tendres, drôles et bouleversants, nous racontent, au fond, l'histoire de l'humanité et sont un hymne à la performance du bien sur le mal, et, comme dans la tradition juive dont ils sont inspirés, un pari sur l'avenir de l'homme. C'est sans doute, le meilleur livre de Joseph Joffo, depuis « Un sac de billes », qui l'a rendu mondialement célèbre.
L’adieu à la femme sauvage
Une petite fille de douze ans et demi, Johanna, quitte la maison familiale pour se rendre avec sa meilleure amie au cirque voisin qui donne une séance spéciale pour le Carnaval. Quoi de plus prosaïque et de plus normal, si ce n’est que la scène se passe à Dresde un soir de février 1945 et que cette même nuit se déchaîne le bombar-dement anglo-américain qui, en trois vagues successives, va entièrement détruire une ville demeurée jusqu’ici à l’écart de la guerre, tuant une grande partie de ses habitants et causant avec des moyens, « conventionnels » l’une des plus meurtrières catastrophes de l’Histoire. Voici donc Johanna plongée; sans que rien ne l’y ait préparée, dans une brutale apocalypse qui va ensevelir son univers familier. Dès lors elle prend la fuite, entraînant avec elle sa mère qu’elle vénère, mais qui, gravement traumatisée par le drame et ses conséquences, n’est plus désormais qu’une « femme sauvage » repliée sur elle-même, psychiquement en état de choc…