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Henri Vernes, Coria
Bob Morane 30 – Les guerriers de l’ombre jaune
Ressusciter des hommes mis en hibernation pour en faire des guerriers fanatisés ? L’Ombre Jaune ne se refuse rien. Et, pour Bob Morane, ce combat se revèlera vite… être une aventure au-delà du possible.
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Couverture toile – Depuis que son lieutenant français l’a abandonnée, Sarah est montrée du doigt par les villageois puritains de Lyme Regis qui la jugent irrémédiablement déshonorée et menacée de folie. Seul Charles Smithson ose l’approcher, fasciné par son impénétrable mystère. Pour la voir, il brave le scandale, met en péril ses fiançailles, risquant son bonheur et bouleversant tout le village. // Ce livre a été adapté au cinéma avec les acteurs Meryl Streep et Jeremy Irons
Pour rétablir la vérité
Non achevé au moment du décès de son auteur, il a été mis en ordre et publié selon les souhaits de Pompidou par sa veuve, Claude Pompidou et par Jean-François Saglio. Le titre Pour rétablir une vérité n’a pas été choisi par l’auteur lui-même et est un extrait des premières pages de la partie sur mai 1968. Il expose dans l’introduction une conception d’un pouvoir solitaire où le président après avoir écouté les avis décide au final seul.
Un turbulent silence
« C’est génial! On s’ attendait à un roman politique sur l’esclavage et on lit un formidable hymne tellurique qui prend la dimension d’un continent. Dans cette Afrique du Sud du siècle dernier, le sang et la mort, la passion et la violence, le sexe et la haine sont au rendez-vous. En toile de fond : l’émancipation de Galant, esclave sublime dont la révolte incarne la fierté d’un peuple déchu. Écrivain afrikaner en lutte contre l’apartheid, André Brink se révèle ici bien plus qu’un contestataire : un poète de l’épopée totale « . André Clavel, Les Nouvelles littéraires. » Dans ce style chaleureux et sensuel qui vrille le cœur, André Brink fait vivre ses personnages avec une intensité incroyable. Ils sont tapis au fond de nous pour toujours… Au total, un splendide roman chargé d’histoire, dépassions et d’amour de l’Afrique. On l’ouvre et on le dévore « .
Le Nabab (Tome 2)
Le duc de Bourgogne, en 1754, vogue vers les Indes. A son bord, des hommes et des femmes rêvent à cette contrée lointaine. Marian de Chapuset, séduite et abandonnée en France, espère y refaire sa vie. Le jeune mousse, Madec, veut déserter la marine et revoir le faste inouï des princes indiens entrevu à Pondichéry lors d’une escale. Aussitôt arrivé, Madec nage vers le rivage et sans le sou, en haillons, s’enrôle dans l’armée française pour défendre nos comptoirs commerciaux convoités par les Anglais. Madec connaîtra les combats, les abandons, les trahisons avant de se mettre lui-même à lever des armées pour le, compte de tel ou tel prince hindou, contre l’Anglais redouté et haï. Ami du rajah de Godh, amoureux lointain puis comblé de la princesse Sarasvati, aventurier avide de gloire et de richesse, il a un jour ses palais, sa begum, son harem, des pierres précieuses, une armée et des éléphants. Il est fait nabab. Le lecteur suit Madec et comme lui est envoûté par les parfums de l’Inde, la grâce de ses femmes, la sensualité et la subtilité de ses mœurs, sa religion omniprésente. Eblouie par l’Inde, Irène Frain a su en dire les richesses avec beaucoup de réalisme; érudite, elle a parfaitement su créer une ambiance et reconstituer les faits et gestes des Indiens et des Européens du XVIIIe siècle. Nous pénétrons partout, dans le palais de Godh, véritable paradis terrestre que la princesse Sarasvati illumine de sa beauté et de son raffine-ment, dans les caravansérails, au cœur des bazars, chez les négociants d’épices, de soieries et de diamants, chez les gouver-neurs anglais et français.
Fasciné à son tour par ce breton devenu nabab, le lecteur dévore ces pages pleines de poésie, de fureur guerrière et d’amour.