- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 32 – Le Président ne mourra pas
Henri Vernes, Coria
Bob Morane 32 – Le Président ne mourra pas
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Vous aimerez aussi
Bob morane : la rivière de perles
Soudain Morane eut l’impression qu’on le frappait d’un coup de matraque à la base du crâne. Alors il comprit pourquoi les poteries Ming étaient si bon marché et l’alcool offert par l’antiquaire chinois si fort ! Il voulut foncer sur M. Foo et l’homme à la petite valise, mais le brouillard devant ses yeux se fit soudain plus épais et se changea en ténèbres totales.
On l’avait drogué ! Mais aussi il fallait être Bob Morane et son ami Bill Ballantine pour suivre un rabatteur de touristes et aller à la recherche d’antiquités dans le quartier chinois de San Francisco. En pleine nuit et par pluie diluvienne ! Un coup à tomber dans le pire des traquenards…
Dialogues avec Lanza Del Vasto
René Doumerc, ami de longue date, interroge le maître et l’invite à synthétiser son vaste enseignement. Les questions posées sont pertinentes, les réponses apportent des compléments intéressants à l’œuvre publiée. Lanza avait relu ce texte, qui garde toute sa qualité d’écriture malgré le genre oral du livre. Ces pages donnent, de l’ensemble de l’œuvre, une image fidèle.
Le printemps des pierres
Le temps de l’exaltation est venu. L’œuvre a jailli de terre et révélé ses structures. Les premiers murs, les premières colonnes ont surgi dans un printemps d’alléluias et de miracles. C’est le printemps des pierres. Il s’est installé partout en France. Dieu ne peut plus se perdre en ce pays : toutes ces églises, toutes ces cathédrales sont pour lui autant de repères. S’il était aveugle, il pourrait se guider en tâtant de ses grandes mains de nuage telle ou telle muraille qui sent encore le mortier frais, exhaussée au-dessus des toits des villes et des bourgs. Dieu est heureux ; il baigne dans ce printemps comme dans un lit de chaleur et de lumière et il écoute monter autour de lui ce silence des pierres qui n’est pas celui du désert, mais un tissu léger de cantiques. Ce temps exceptionnel où la France a pris son visage d’éternité, ces printemps ajoutés aux printemps où, en cette fin du XIIe siècle, la foi d’un peuple, et l’intelligence, et le savoir-faire de ses maîtres d’œuvre, de ses carriers, maçons, charpentiers, imagiers, verriers donnaient forme à la prière.
Le cavalier de la terre promise
« Faux juif ! fils de personne ! » Dans le shtetl, la communauté juive d’un petit village de Pologne, c’est ainsi que les gamins appellent Andréi Parocki. Sa mère, tout le monde la connaissait ; elle s’appelait Myriam, et c’était la fille du rabbin. Mais son père … Un jour, Andréi apprendra que son père était un hussard, qui viola la belle Myriam. Elle en mourut neuf mois plus tard. Fils de personne… Cet enfant déchiré entre deux cultures, ce juif doublement errant, va devenir soldat, lui qui déteste la violence Mais très vite, il va se révolter contre l’uniforme et prendre la défense des opprimés, paysans et ouvriers qu’on abat comme des chiens dans la Pologne et la Russie de ce début de siècle. Pourtant, malgré l’amour et l’amitié, il reste un déraciné, et finira par comprendre que pour les fils d’Israël, il n’est qu’une terre promise : la Palestine