- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 50 – L’anneau de Salomon
Henri Vernes, Coria
Bob Morane 50 – L’anneau de Salomon
Un doigt coupé, un anneau magique d’une valeur archéologique inestimable, le tombeau du grand Roi des Hébreux. En Israël, Bob Morane et ses compagnons sont entraînés dans une course à la mort, de cités en ruine en déserts.
Vous aimerez aussi
Angela’s ashes, a memoir of a childhood
En Anglais – « When I look back on my childhood I wonder how I managed to survive at all. It was, of course, a miserable childhood: the happy childhood is hardly worth your while. Worse than the ordinary miserable childhood is the miserable Irish childhood, and worse yet is the miserable Irish Catholic childhood. » So begins the Pulitzer Prize winning memoir of Frank McCourt, born in Depression-era Brooklyn to recent Irish immigrants and raised in the slums of Limerick, Ireland. Frank’s mother, Angela, has no money to feed the children since Frank’s father, Malachy, rarely works, and when he does he drinks his wages. Yet Malachy– exasperating, irresponsible and beguiling– does nurture in Frank an appetite for the one thing he can provide: a story. Frank lives for his father’s tales of Cuchulain, who saved Ireland, and of the Angel on the Seventh Step, who brings his mother babies ….
François 1er ou le rêve italien
François 1er, dans la mémoire collective des Français, c'est une date – 1515 – et un exploit, Marignan. Il est rare qu'un événement cache à ce point l'ensemble d'un règne, d'une époque. Pour en percer les mystères, Jack Lang a pris le parti d'écrire un essai qui se lise aussi comme une biographie politique. Avec, pour fil conducteur, l'inspiration sans cesse puisée au coeur d'une Italie rêvée, admirée, convoitée, et dont François le, n'hésite pas à s'approprier les plus remarquables témoignages. Cette imprégnation italienne, on la retrouve dans l'effort prodigieux d'un monarque pour façonner une Renaissance à la française, synthèse du modernisme italien et de la tradition nationale. Mais ce livre montre que c'est un pays tout entier qui se trouve entraîné dans une extraordinaire mutation : la modernisation de l'Etat, la réorganisation des finances, le renforcement de l'autorité monarchique s'opèrent également avec de constants emprunts au-delà des Alpes. L'Amérique de François 1er, c'est l'Italie.
Déshéritée !
A la mort de leur père, le milliardaire Jack Gallagher, Lacey et Scott sont partagés entre le chagrin et le soulagement. La fille Lacey, qui a toujours été l’esclave de l’autorité paternelle, entrevoit, pour la première fois, de mener sa vie librement tandis que son frère compte s’adonner sans culpabilité à la vie de plaisirs dont il a toujours rêvé. Mais le testament de Jack crée la surprise et, par-delà la tombe, le défunt règne encore sur les siens. Très vite, les meurtres s’enchaînent et le chaos s’installe. Désormais, les seules lois en vigueur dans l’empire Gallagher sont celles du pouvoir et de l’argent.
Deux femmes
Une jeune femme est retrouvée assassinée dans une chambre d’hôtel de Nice, sans papiers, sans passé, sans rien… Une autre femme, l’épouse d’un procureur adjoint de la République, s’amuse à mener l’enquête. Ne lui faut-il pas tromper son ennui, sinon tromper son mari ? Entre l’insolente jeunesse d’Olga et la distinction vernissée de Blandine, il y a Jean-Louis, scénariste, romancier, célibataire par indolence plus que par conviction, qui se laisse trop facilement séduire par l’une puis par l’autre. Les femmes ne mènent-elles pas toujours le bal, ou l’aventure ? Après Charles et Camille et La Comédie de Terracina. Frédéric Vitoux nous offre un roman policier sur fond de mafia russe et de faux tableaux, une comédie sentimentale où un homme peut en cacher un autre, une chronique de l’été 95 dans sa torpeur estivale. La Provence, l’île Saint-Louis, l’Italie sont autant de décors chers à l’auteur, qui invitent à un vrai suspense et à cette légère ébriété romanesque sans laquelle il n’est pas de bonheur littéraire.