- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Bob Morane 62 – La guerre du pacifique n’aura pas lieu – T2
Henri Vernes, Coria
Bob Morane 62 – La guerre du pacifique n’aura pas lieu – T2
Projeté dans les méandres du temps, Bob Morane a assisté, presque impuissant, aux massacres perpétrés à Nankin par l’armée japonaise en… 1937 ! De son côté, Sophia Paramount a atterri à Pearl Harbor et Bill Ballantine est parti à la recherche de son commandant. C’est que la Patrouille du Temps espérait bien les inciter à empêcher la Guerre du Pacifique. Mais un vrai héros ne se laisse pas dicter sa conduite ! En revanche, pas question de repartir en laissant un ami derrière soi, surtout pas un impétueux Ecossais.
Vous aimerez aussi
Sang royal
York, 1541. Aux portes de la ville, quatre têtes coupées sur des piques, font le régal des corbeaux. C’est la réponse, royale et sanglante, à la conspiration papiste. Bientôt, le roi lui-même viendra mettre un terme, par sa seule présence, aux troubles de la province. D’ici là, Matthew Shardlake, avocat à la Cour, assurera la protection du meneur catholique, le bouillant Broderick, jusqu’à son transfert à Londres où l’hérétique sera remis aux questionneurs de la Tour… Quel entêtement dans son silence ! Très vite, Shardlake devine que la rébellion du Yorkshire menace bien moins l’unité religieuse du pays que la légitimité de la Couronne. Connaissant Henri VIII, dont la cruauté proverbiale a souillé le nom des Tudor, l’avocat se sait lui-même en grand danger.
Il poeta
En italien – Jack McEvoy fa il reporter di nera. La morte è il suo mestiere. Ma questa volta la morte gli porta una storia che non avrebbe mai voluto scrivere e un mistero che vuole risolvere a tutti i costi. Là fuori, in agguato, c'è un serial killer astuto e feroce, un perverso assassino, un meticoloso discepolo del male. Le sue vittime sono tutte poliziotti, agenti della omicidi. E il suo biglietto da visita è un verso di Edgar Allan Poe. La sua vittima è stata il fratello di McEvoy e la sua prossima… potrebbe essere lui stesso.
36, boulevard Yalta
Mu par une logique impénétrable, le nez rivé à ses dossiers mystérieux, Brano Sev, inspecteur de la Sécurité d’État, est l’œil du Parti au sein de la Brigade criminelle, dans la Capitale d’une république socialiste. Mais en 1966, tout ça c’est du passé pour le major Sev, impliqué dans un meurtre en Autriche. Sa hiérarchie l’expédie dans sa ville natale, pour enquêter sur un probable agent double. Cette investigation le ramènera à Vienne où, en pleine Guerre froide, se presse une nuée d’espions de tous bords. Abandonné par ses » camarades « , coincé entre Est et Ouest, Brano Sev connaîtra – pour la première fois – la tentation de faire passer sa vie personnelle avant son devoir patriotique.
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.