- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Buddy Longway -8- L’eau de feu
Derib
Buddy Longway -8- L’eau de feu
Des Indiens agressent inexplicablement Buddy et son fils Jérémie. A leur retour d’une chasse à l’ours, des Black Feet encerclent leur maison. En les espionnant, le trappeur découvre qu’en échange de fourrures volées, des Blancs leur livrent des caisses remplies de bouteilles d’alcool…
Vous aimerez aussi
Bob morane : la rivière de perles
Soudain Morane eut l’impression qu’on le frappait d’un coup de matraque à la base du crâne. Alors il comprit pourquoi les poteries Ming étaient si bon marché et l’alcool offert par l’antiquaire chinois si fort ! Il voulut foncer sur M. Foo et l’homme à la petite valise, mais le brouillard devant ses yeux se fit soudain plus épais et se changea en ténèbres totales.
On l’avait drogué ! Mais aussi il fallait être Bob Morane et son ami Bill Ballantine pour suivre un rabatteur de touristes et aller à la recherche d’antiquités dans le quartier chinois de San Francisco. En pleine nuit et par pluie diluvienne ! Un coup à tomber dans le pire des traquenards…
Une mère et ses deux filles
Gros roman plus de caractères que de mœurs. Publié en 1982, il saura plaire à tous lecteurs de feuilletons bien faits. L’histoire, à la fois drôle et tragique, sentimentale et intelligente, de trois femmes à la suite de la disparition de l’homme de leur vie.
Montand – La vie continue
Yves Montand, chanteur, acteur, homme politique, homme public, homme secret. Un homme tout simplement. Pour raconter cet homme-là, cette vie depuis les quartiers populaires de Marseille jusqu’à la soirée du 7 septembre 1982 où ce fils d’immigré italien chante et triomphe au Metropolitan Opera de New York, pour rendre compte d’un tel personnage, dans son épaisseur, dans sa profondeur, il fallait davantage que de simples connaissances biographiques, il fallait la clé de la mémoire et de la connaissance intime. Si Jorge Semprun a réussi ce pari – et ce portrait -, c’est parce qu’il connaît Montand depuis vingt ans et que, depuis vingt ans, de l’un à l’autre se sont tissés les liens rares de l’amitié.
Dom Casmurro
« Mes doigts frôlaient la nuque de la fillette ou ses épaules vêtues d’indienne, et c’était une sensation délicieuse. Mais enfin, bien malgré moi, les cheveux tiraient à leur fin, alors que je les aurais voulus interminables. (…) Si cela vous paraît emphatique, malheureux lecteur, c’est que jamais vous n’avez coiffé une fillette, jamais vous n’avez posé des mains d’adolescent sur la jeune tête d’une nymphe… Une nymphe ! Me voilà tout mythologique. » – Voulez-vous un roman séduisant ? Un humour fin ? Voulez-vous un chef-d’oeuvre de la littérature brésilienne ? Sans perdre un instant, plongez-vous dans Dom Casmurro. (Le Monde)