- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Ca ira mieux après-demain
Pierre Kroll
Ca ira mieux après-demain
Mes meilleurs dessins parus dans Le Soir et CinéTéléRevue ou réalisés à la télévision (RTBF) racontent une année bien moche (d’octobre 2015 à octobre 2016), mais vous allez rire du début à la fin quand même ou je vous rembourse. Il ne faut pas toujours me croire… Pierre Kroll
Vous aimerez aussi
Trop vite
« Je ne me plains pas, j’explique. Je réfléchis – un petit peu. J’ai 24 ans, quand je me regarde dans une glace, je vois une fille jeune, mais derrière mon image, j’ai l’impression d’être beaucoup plus vieille. Ce que j’ai vécu, je veux le raconter. Dire enfin ma pensée, mon ressenti. Reprendre le contrôle de ma vie. Ces dernières années ressemblent à un petit roman d’aventures où on rit, où on pleure, où on aime et n’aime pas. J’ai fait tout ça à fond. Je ne crache pas dans la soupe, j’explique… Pour remercier ceux qui m’ont soutenue en espérant les divertir. Et être moins méprisée par les autres – si possible… »
Les quatre saisons de l’été
Été 99, dont certains prétendent qu’il est le dernier avant la fin du monde. Sur les longues plages du Touquet, les enfants crient parce que la mer est froide, les mères somnolent au soleil. Et partout, dans les dunes, les bars, les digues, des histoires d’amour qui éclosent. Enivrent. Et griffent. Quatre couples, à l’âge des quatre saisons d’une vie, se rencontrent, se croisent et s’influencent sans le savoir. Ils ont 15, 35, 55 et 75 ans. Ils sont toutes nos histoires d’amour.
Jacob, Jacob
«Le goût du citron glacé envahit le palais de Jacob, affole la mémoire nichée dans ses papilles, il s’interroge encore, comment les autres font-ils pour dormir. Lui n’y arrive pas, malgré l’entraînement qui fait exploser sa poitrine trop pleine d’un air brûlant qu’elle ne parvient pas à réguler, déchire ses muscles raides, rétifs à la perspective de se tendre encore et se tendant quand même.» Jacob, un jeune Juif de Constantine, est enrôlé en juin 1944 pour libérer la France. De sa guerre, les siens ignorent tout. Ces gens très modestes, pauvres et frustes, attendent avec impatience le retour de celui qui est leur fierté, un valeureux. Ils ignorent aussi que l’accélération de l’Histoire ne va pas tarder à entraîner leur propre déracinement. L’écriture lumineuse de Valérie Zenatti, sa vitalité, son empathie pour ses personnages, donnent à ce roman une densité et une force particulières.
Devine qui je suis
Le Prétendant est de retour – c’est une certitude pour le lieutenant Taylor Jackson. Et, cette fois, il a recruté des psychopathes à travers tout le pays pour l’aider à accomplir son sanglant dessein. Déjà, des meurtres ont été commis simultanément aux quatre coins de l’Amérique, portant les signatures de célèbres tueurs en série aujourd’hui hors d’état de nuire. Pendant que les disciples du Prétendant mettent en scène leurs hommages morbides, forçant la police et le FBI à disperser leurs effectifs, Taylor se prépare, elle, à l’inévitable face-à-face avec le Prétendant. Un défi qu’elle devra relever seule. Car il est hors de question qu’elle mette ses proches en danger de mort – y compris John Baldwin, profileur du FBI, mais aussi son fiancé.Pourtant, face à l’isolement, aux victimes qui s’additionnent, Taylor ne tarde guère à douter : seule, pourra-t-elle démasquer son pire ennemi qu’elle soupçonne de se cacher dans son entourage ? Ou bien ne risque-t-elle pas de se jeter dans le piège que le Prétendant a peu à peu refermé autour d’elle pour mieux l’atteindre ?