Pierre-Henri de Menthon, Eric Tréguier
Ces 200 familles qui possèdent la France
Deux cents familles détiennent aujourd'hui entre leurs mains l'essentiel de l'économie française. Sur le devant de la scène ou dans l'ombre, ces fortunes ont chacune leur origine, leur histoire, leurs conflits. Montre comment elles ont réussi à faire prospérer leur empire sur plusieurs générations. De la famille Bettencourt à la famille Provost, en passant par les familles Bolloré, Fournier, Parisot, Boiron, Seydoux, Fabre, Décaux …. etc.
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Sido
Donner à voir des manuscrits, d’ordinaire inaccessibles, rendre visible le travail d’écriture, en montrant les mouvements d’une plume qui trace, rature, avance, revient, dessine parfois, se glisse entre les lignes ou envahit les marges, tel est le propos de la collection Manuscrits. Chaque volume présente un dossier manuscrit complet reproduit en fac-similé. En regard, page à page, une transcription aide au déchiffrement. La préface éclaire les processus de la genèse du texte. Sido (1930) : texte magique pour conjurer une ombre. C’est la troisième fois que Colette (l873-1954) fait revivre sa mère. C’est la première fois qu’elle l’élève à la dimension mythique, au cœur de la Rose des vents, dans ce triptyque familial où la rejoignent » Le Capitaine » et » Les Sauvages « , son mari et ses enfants.
Les portes du diable
Après la mort brutale de ses parents, Martin Hopkins part vivre dans la région du Yorkshire, chez la sinistre Mme Crow. Qu’attend donc de lui cette inquiétante personne ? De mystérieuses cérémonies nocturnes se tiennent dans l’enceinte d’une usine nucléaire désaffectée, à proximité du village. Avec, pour seul indice, l’inscription » Les Portes du diable » griffonné à la hâte sur le mur. Martin et son unique ami, le journaliste Richard Cole, vont tenter de déjouer le terrible complot qui menace la paix du monde.
Les fausses confidences
Marivaux renouvelle la comédie d’intrigue, car il ne se contente pas d’opposer aux sentiments des obstacles extérieurs ; il peint ceux qu’ils trouvent dans les cœurs eux-mêmes, la lutte contre soi, le trouble qui en naît et le cheminement vers l’aveu. Aussi le caractère d’Araminte fait-il l’intérêt de la pièce autant que le rôle de Dubois, le meneur de jeu.
Bérénice
Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.