Antonella Tomaselli
Chiens de race – Le Yorkshire terrier
Petit chien de chasse, vif et intelligent, le Yorkshire Terrier est l’animal de compagnie par excellence. Son attachement à son maître, son élégance, sa petite taille en font un chien sociable et drôle. Cet ouvrage vous offre de connaître le Yorkshire, afin de l’élever et de le diriger le mieux possible en toutes situations.
Vous aimerez aussi
Trahisons
Que fait-on, lorsqu’on est riche et puissant, pour se débarrasser du petit ami pauvre (Mike) de sa fille (Stéphanie) ? Très simple ! On le fait envoyer en prison. Sous un prétexte fallacieux, bien sûr. Et que fait-on quand on vous annonce qu’un enfant va bientôt agrandir le cercle de famille ? On entre dans une colère noire. Et on renie sa fille. Puis, on pousse la cruauté jusqu’à faire intercepter tout courrier émanant de l’un vers l’autre, et réciproquement. Le tour est joué. Ces deux-là ne sont pas près de se revoir… C’est compter sans le destin… Des années plus tard, en effet, Stéphanie et Mike se retrouvent. Mais chacun a refait sa vie. Et chacun porte le poids de la prétendue trahison de l’autre… L’amour saura-t-il rattraper le temps perdu ?
Le dernier soupir du maure
Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
L’anglais professionnel
Si, avec la mondialisation et l’augmentation des échanges internationaux, la connaissance de l’anglais est devenue indispensable, la maîtrise de l’écrit reste une priorité pour tout ce qui concerne la correspondance commerciale. Annonces pour le recrutement du personnel, lettres de notifications, réclamations, circulaires, courriers destinés aux banques et aux compagnies d’assurances… Dans cet ouvrage complet et pratique, les auteurs vous apprennent toutes les règles de présentation, de rédaction, de style, ainsi que toutes les indications spécifiques selon le destinataire et l’objet du courrier qui vous seront utiles dans la correspondance commerciale. Grâce à plus de cent modèles de lettres – destinés aux DRH, agents, représentants, comptables… et aux nombreuses listes de vocabulaire adaptés à toutes les circonstances, vous vous initierez à la rédaction commerciale bilingue et vous répondrez efficacement à toutes les exigences du monde des affaires.
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…

