Antonella Tomaselli
Chiens de race – Le Yorkshire terrier
Petit chien de chasse, vif et intelligent, le Yorkshire Terrier est l’animal de compagnie par excellence. Son attachement à son maître, son élégance, sa petite taille en font un chien sociable et drôle. Cet ouvrage vous offre de connaître le Yorkshire, afin de l’élever et de le diriger le mieux possible en toutes situations.
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Les saveurs de la cuisine chinoise
Recettes traditionnelles, Préparations simples et rapides. Dans cet ouvrage, vous apprendrez à séduire agréablement tous vos convives grâce à des recettes originales comme la soupe aux ailerons de requins, les raviolis braisés à la sauce sésame, le poulet au bambou, etc …
Funeral in Berlin
En Anglais – FUNERAL IN BERLIN is a spellbinding tale of espionage and its counter in which double and triple crosses are common. Berlin with its infamous wall symbolized the Cold War as did no other place. It was like theatre, but is war for real. « Len Deighton has always been fascinated with the Cold War in a way that could be called scholarly…one always feels that the intricacies of espionage and of the Soviet Union’s spy apparatus rest on serious research. And he writes with effortless mastery. » (The Wall Street Journal). « A most impressive book, a chronicle of our times, in which the tension, more like a chronic ache than a stab of pain, never lets go. » (The London Evening Standard)
Charmes de Venise
Si l’on s’en tient à la définition du dictionnaire, le mot » charme » venu du latin carmen, signifie » enchantement magique, grand agrément, puissant attrait « … Depuis des siècles, Venise exerce une telle fascination sur les hommes qui l’ont bâtie, défendue, embellie, représentée, décrite ou rêvée. Pourquoi s’en étonner ? Cette cité unique au monde, véritable thalassocratie qui connut pendant plus de mille ans un prestige et une puissance sans précédent, a rassemblé dans un espace incroyablement restreint tout ce que le génie humain peut créer quand il est soutenu par des esprits soucieux d’indépendance, de gloire et de merveilleux. La beauté poignante de ce lieu attire les plus grands esprits littéraires ou artistiques, qui en feront leur résidence d’élection. Poètes, musiciens, peintres, seront bouleversés et inspirés par les splendeurs et les misères de la plus belle courtisane de l’Europe. Les ombres des visiteurs prestigieux qui l’ont tellement célébrée planent encore sur Venise. Les fantômes de ses enfants talentueux sont présents où que se tourne le regard. Venise n’est pas une, elle est cent, elle est mille, elle est quinze siècles de génie, d’histoire et de beauté.
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…