Claire Joyes
Claude Monet et Giverny
Ce beau livre ou crée par Claude Monet entre 1883 et 1926, pour lequel il avait donné tous ses soins, tout son amour, toute son attention et dont il était si fier. Rien pour lui ne comptait plus que ce jardin. Dés le début de ce siècle, ce jardin était déja célèbre et les quelques privilégiés qui y étaient reçus contemplaient religieusement ce jardin composé par un grand artiste pour le plaisir de l’oeil.
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Je l’écoute respirer
Dans une maison où les oiseaux de passage et les chats en vadrouille rappellent à chaque instant l’insouciance de la vie, une femme est en train de mourir. Elle a quatre-vingt-dix ans, une beauté dont ni les rides ni la maladie n’ont abîmé les traits, et comme une sagesse intérieure qui se devine derrière le souffle lent de cette silencieuse agonie. // Anne Philippe, sa fille, écoute respirer celle qui va disparaître, mais dans ces lieux dont chaque objet, chaque meuble, évoque sa propre enfance, c’est aussi la musique des chemins, Anne Philippe sent battre simultanément le pouls du passé, de l’avenir, et d’un présent qui s’apprête à tomber dans l’imparfait.Dans une langue débarrassée de tout lyrisme, Anne Philippe nous parle différemment de ce que tout le monde a vécu un jour ou l’autre : l’impuissance de l’homme devant une disparition inéluctable, et, pourtant, le miracle de la vie qui reprend son cours, jusqu’au prochain barrage. Ici, une respiration qui cesse, là-bas, une respiration qui commence, et, ailleurs, l’incompréhensible respiration de l’infini
Niet !
Fils d’industriel, Albert de Melville est entré dans la Résistance aux côtés des communistes. Lorsque l’Armée Rouge libère le camp nazi où l’ont conduit ses convictions politiques, Albert croit à la promesse d’un monde nouveau. Il se trompe. Interrogé par les Russes, qui l’emmènent à Moscou, il se retrouve sous les verrous. Les portes du Goulag se referment sur lui. Pourtant, une lueur brille encore dans la nuit qui vient d’engloutir Albert de Melville. Avant de disparaître, il a connu un amour bref et violent avec une jeune Française, Bulle, déportée elle aussi par les Allemands. De retour à Paris, Bulle lutte pour retrouver le disparu et obtenir sa libération, aidée par Marie, la mère d’Albert. Tandis que le dégel succède à la guerre froide, et que les Grands décident du sort des nations, un homme et deux femmes gardent le fol espoir de se retrouver un jour.
Un coupable
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Fontbrune
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