Sylvie Graumann-Yettou
Commerce international guide pratique
Où s’informer, comment recenser les appuis au développement international, élaborer une stratégie de distribution, tirer profit des nouvelles formes de commerce, gérer ses expéditions, se protéger contre les risques de non-paiement, de contrefaçon ? En répondant à toutes ces questions de façon claire et pratique, l’objectif de la sixième édition de ce guide est d’offrir aux entreprises une vision globale des mécanismes du commerce international ainsi qu’une série de conseils pratiques pour préparer toutes les étapes de leur développement international.
Vous aimerez aussi
Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.
Un américain en Picardie : Sacrés français !
Jonathan Bradley, cost-killer, est chargé de dégraisser une petite usine de robinetterie victime de la mondialisation. L'affaire est simple, mais il tombe sur un tas d'os : le code du travail, l'Urssaf, la CGT, la grève et ses piquets, le délégué syndical qui dit toujours non, les salariés peu conciliants… Ted Stanger chasse les vaches sacrées sans complexe dans cette satire qui fera rire et réfléchir, notamment sur la place du « modèle français » dans un monde qui bouge.
Vatican 2035
Il y a quelque temps, je m’agenouillai dans l’obscurité d’un confessionnal. Et je fis cet aveu à un prêtre : la fureur m’envahissait à la vue de mon Église, tellement impuissante, si peu crédible. Mon confesseur, ne sachant pas bien sûr à qui il s’adressait me prêcha l’humilité : » Faites ce que vous pouvez… » M’aurait-il parlé aussi librement s’il avait vu mon visage, s’il avait compris qui j’étais ? Certainement non. Ainsi en est-il, également, pour ce livre : que chacun le lise pour ce qu’il raconte sans être influencé par la personnalité de l’auteur. S’il s’était agi d’un traité, ou d’un essai, peut-être aurait-on trouvé ici des traces de mon amertume. Mais pour rêver un autre avenir, j’ai préféré à travers un roman créer des personnages de chair et de sang – Paddy, Paul, Leah, Jeanne-Marie, Kate… et Thomas Ier, un pape qui va enfin révolutionner l’Église. – Pietro De Paoli
Louis Capet, suite et fin
Si chacun sait bien que Louis XVI, échappant de justesse à la guillotine, fut par la Convention condamné au bannissement perpétuel, l’on connaît moins, en revanche, les innombrables difficultés rencontrées à l’époque pour trouver au souverain déchu une terre d’exil qui veuille bien le recevoir, et l’on ignore presque tout des raisons qui poussèrent finalement la Suisse à accueillir Louis Capet et à le reléguer à Saint-Saphorien, petite bourgade des bords du Léman, dans un territoire alors possession des baillis de Berne. Basé sur de nombreuses archives inédites, se lisant comme un vrai livre d’histoires et sur un ton dont la légèreté n’exclut pas le sérieux, ce roman nous révèle donc l’accueil… mitigé que le ci-devant monarque reçut à son arrivée au pays de Vaud, les hôtes… inattendus qui s’en vinrent le visiter, les diverses péripéties… tragicomiques qui, d’octobre 1795 à janvier 1798, marquèrent son séjour forcé dans la région et la fin… logique qu’il y trouva.