Emile Peynaud
Connaissance et travail du vin
Cet ouvrage, qui est depuis plus de trente ans une référence dans le domaine, est un véritable précis d’oenologie pratique, qui aborde tous les aspects de la science du vin : l’élaboration, l’élevage, la conservation, etc. Il constitue un ouvrage de référence pour tous les professionnels du vin confrontés à des questions pratiques, et un manuel d’apprentissage des pratiques oenologiques pour les étudiants. Outre l’actualisation de la partie sur les levures, cette nouvelle édition propose des outils de diagnostic des différents type de vin.
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White Mischief
En anglais – Just before 3am on January 24th, 1941, when Britain was preoccupied with surviving the Blitz, the body of Josslyn Hay, Earl of Erroll, was discovered lying on the floor of his Buick, at a road intersection some miles outside Nairobi, with a bullet in his head. A leading figure in Kenya’s colonial community, he had recently been appointed Military Secretary, but he was primarily a seducer of other men’s wives. Sir Henry Delves Broughton, whose wife was Erroll’s current conquest, had an obvious motive for the murder, but no one was ever convicted and the question of who killed him became a classic mystery, a scandel and cause celebre. Among those who became fascinated with the Erroll case was Cyril Connolly. He joined up with James Fox for a major investigation of the case in 1969 for the SUNDAY TIMES magazine. After his death James Fox inherited the obsession and a commitment to continue in pursuit of the story both in England and Kenya in the late 1970s. One day, on a veranda overlooking the Indian Ocean, Fox came across a piece of evidence that seemed to bring all the fragments and pieces together and convinced him that he saw a complete picture.
La maison assassinée
Au début du siècle, cinq personnes sont massacrées à coup de couteau dans une auberge de Haute-Provence. En 1920, un survivant croit découvrir les coupables, mais deux d’entre eux, un nouveau riche et le propriétaire d’un moulin a huile, sont assassinés à leur tour avant que Séraphin Monge ait pu accomplir sa vengeance. Le justicier Monge entreprend alors de démolir la maison maudite de fond en comble…
Un lecteur : « J’ai beaucoup aimé me plonger dans ce récit qui suinte l’odeur de la terre, celle qui vous glisse entre les doigts lorsqu’elle est sèche, celle pour laquelle, l’homme et la femme se dépassent parce qu’ils en tirent la nourriture, avec toute la dureté de la ruralité et le côté sauvage des paysages de la Haute Provence dans les environs de Forcalquier. Je n’écrirai aucun commentaire sur le mystère qui entoure l’arrivée de Sébastien Monge. »
La mare au diable
De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
L’été du diable
Pise, 1945. Les Alliés viennent de débarquer. Les fascistes ont perdu, la guerre est finie. Mais le pays est dévasté, affamé, et les familles vendent leurs filles aux soldats pour une tablette de chocolat. Béatrice, elle, appartient à la bourgeoisie de la ville. Femme de prisonnier, elle travaille à l’hôpital, comme infirmière bénévole. Elle a vingt-cinq ans et elle incarne la souffrance, le courage, la dignité… Jusqu’au jour où elle rencontre Harry, un sergent américain. C’est un métis, beau comme un dieu barbare. Pour lui, elle va braver les interdits et oser vivre enfin. Dans la ville en folie, elle va découvrir la passion. Une passion sauvage et dévorante. Mais que deviennent les femmes qui ont aimé les guerriers vainqueurs ? Que restera-t-il de cet été du diable ?

