Giuseppe Verdi, Friedrich Von Schiller
Don Carlo
Don Carlos est un « grand opéra à la française » en cinq actes de Giuseppe Verdi, sur un livret de Joseph Méry et Camille du Locle, d’après la tragédie Don Carlos de Friedrich von Schiller, créé le 11 mars 1867 à l’Opéra de Paris1.
Remanié en 1884, il devient Don Carlo pour la scène italienne. C’est dans la traduction italienne qu’il conquiert les scènes mondiales, donnant lieu au mythe d’une version italienne, alors que les deux versions (1866-67 et 1884) furent composées sur un texte français.
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Malraux a-t-il agi pour trouver dans l’action la source de son inspiration ? A-t-il écrit parce que l’action ne lui donnait ni la réponse à une certaine exigence d’absolu, ni l’accomplissement que cherchent les conquérants? Sa vie et son oeuvre restent profondément liées : vie construite comme une oeuvre, oeuvre pantelante comme une vie. Cette biographie retrace l’histoire d’un homme qui, à force de vouloir « transformer en conscience la plus large expérience possible », a vécu plus totalement son temps qu’aucun de ses contemporains. Ainsi, cette « vie dans le siècle » peut-elle être vue comme une vie du siècle lui-même.
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The mottled lizard
En Anglais – This sequel to THE FLAME TREES OF THIKA continues the story of Elspeth Huxley’s childhood in Kenya. British settlers, called to serve in WW I, return to their neglected farms and ranches. For Tilly and Robin it is back to the struggle. For their daughter, now 11, it is back to the ponies, lessons at home, wild pets (this time a cheetah named Rupert), and hunting trips with Njombo, the Kikuyu headman. But more is happening. The child narrator is growing into a woman. We lose the wide-eyed child narrator of Thika, but gain in her place a thoughtful and prescient observer of the rapidly changing continent.
La veuve Egalité
Les révolutionnaires qui eurent l’idée de rebaptiser Louis XVI Louis Capet et sa veuve, « la Veuve Capet », crurent assurément avoir touché au but, à savoir humilier le plus bassement possible leurs victimes. Mais l’Histoire a de ces retours inattendus et féroces que plus d’un politicien devrait garder en mémoire, ne serait-ce que pour se préserver lui-même. Ainsi, le surnom de la Veuve Capet est désormais synonyme de martyre et le restera encore pour longtemps. Le terme n’a plus rien d’humiliant, hormis pour ceux qui le forgèrent. En revanche, le titre « la Veuve Egalité » provoque immanquablement la grimace et suscite le mépris non certes par la faute de celle qui se retrouva le porter mais à cause de celui sans qui il n’aurait jamais vu le jour, Louis-Philippe-Joseph d’Orléans, arrière-petit-fils du Régent et de Melle de Blois, fille légitimée de Louis XIV et de Mme de Montespan, par conséquent arrière-arrière-petit-fils de Monsieur, frère de Louis XIV et de la princesse Palatine et, de ce fait, arrière-arrière-petit-neveu du Roi-Soleil en personne ….. L’ouvrage de Michel de Decker n’ait peut-être pas le meilleur sur la question mais il a au moins le mérite de faire sortir de l’ombre celle qui, quoi que l’on en dise, fut bien plus que la simple Veuve Egalité.