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André Delabarre
Du sang sur les roses
” J’ai trop longtemps pensé que le crime était réservé à une élite de la violence. Lourd héritage d’une éducation judéo-chrétienne mal assimilée qui s’était efforcée de dresser une barrière entre les bons et les méchants, entre le blanc et le noir, comme si le gris n’existait pas… Demain, pourtant, je vais tuer ! Sans excitation particulière, calmement. Comme une chose mûrement réfléchie, savamment préparée. Parce qu’il n’y a pas d’autre solution … ”
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