Dave Wheeler
Expériences vécues de la vie après la mort
Ce livre vous permettra de faire l’expérience de la mort qui, depuis toujours, a suscité chez l’homme des sentiments d’angoisse et de peur. Maintenant, l’imagination fait place à la réalité. Dave Wheeler décrit son exploration consciente de l’univers occulte de la mort et son retour au monde des vivants. “La vie après la mort” nous attend tous et nous est révélée dès à présent.
Vous aimerez aussi
Hommage à André Malraux (1901-1976)
N.R.F. n° 295 – Ce volume contient :
La vie :
Marc Chagall, Comme un feu
Jean Lacouture, Un écrivain et le journalisme
Frédéric J. Grover, Entretien sur Maurice Barrès
Julien Segnaire, L’antimilitarisme du «coronel»
Pierre Bockel, Malraux et la foi
Pierre Moinot, A. M. au jour le jour
Bernard Frank (1927-1996), À la source de la cascade
Philippe Médoux, Le Bengale
Louis Bertagna, Il a vécu jusqu’à sa mort
Francis Ponge, Sans titre
L’œuvre :
Georges Anex, La terre insolite
Jacques Chessex, L’inattendu
Alain Clerval, Un autre Flaubert?
Lorand Gaspar, Pour accompagner Malraux
Roger Judrin, Malraux vu par six lucarnes
André Marissel, Entretien du 26 novembre 1975
Jean-Michel Maulpoix, De la métamorphose et de la précarité…
Antoine Terrasse, La nostalgie de Dieu
Robert Mallet, Des images assez puissantes pour nier notre néant
Un seul ennui, les jours raccourcissent
Elle est belle, Lison, blonde aux yeux gris. La vie lui sourit. Et pourtant, elle doute, elle craint.. C’est que, soudain, à quarante ans, elle découvre qu’elle a tout à apprendre, à réapprendre. Sur un coup de cœur, elle vient d’épouser Claude, diplomate à Helsinki, mais le connaît-elle? Elle les aime, ses trois enfants, nés d’un premier mariage, mais pourquoi la regardent-ils ainsi, avec d’autres yeux ? Elle-même, qui est-elle aujourd’hui ? Et puis il y a cette Finlande… où les jours et les nuit jouent à être trop brefs ou trop longs, où d’étranges fêtes païennes saluent la venue de l’été… Avec, en contrepoint, la vie mondaine des ambassades. Et, le temps d’une nuit, Swen, rugueux et tendre…
Une initiation à la dégustation des grands vins
La dégustation est un art, et comme tous les arts, elle préconise une éducation des plus étendues et un état d’esprit. Le dégustateur de vins n’accédera à une parfaite connaissance que par une large ouverture sur l’univers sensoriel et une capacité d’appréciation gustative qui débordent largement le vin ; pour y parvenir, il devra faire appel à la vue, l’odorat et le goût. Ce manuel est un véritable guide pratique qui permettra à l’amateur de vins de connaître ou d’approfondir toutes les subtilités d’une parfaite dégustation des grands vins.
Henri IV ou la grande victoire
Un moment “prodigieux” de l’histoire Henri de Navarre, prince protestant, accédera-t-il au trône de France, royaume en majorité catholique ? En cette fin du XVI° siècle, la vieille “civilisation du Sacrée est morte”. On veut abattre ou sauver l’ancienne Société. On refuse ou on accepte la montée d’un monde inconnu. Jamais la France n’a tant souffert. Jamais Paris n’a enduré – jusqu’à anthropophagie… – un siège plus sauvage. Au centre de cette crise, Henri IV va “dresser sa propre statue”. Sa gaieté, ses amours, sa goguenardise, son panache de Gascon, son esprit, ses réparties font merveille. Enfin, pense la France, un roi qui sait trousser les filles ! En même temps, son agilité de montagnard et sa subtilité de Béarnais en font un incomparable politique. Cet être tout en raison ne se permet qu’une folie : son courage.. A chaque combat, il remet tout enjeu sous la protection de son Dieu. Cependant, derrière cette façade vit un autre personnage, très secret, qui découvre l’angoisse “existentielle” mais qui la domine en chevalier initié, prêt à accomplir le voyage auquel son destin le voue. L’hermétisme lui suggère sa tolérance. Le puissant courant philosophique du Trismégiste, qui traverse catholicisme et réforme, l’assiste dans ses épreuves. Et c’est à son entrée dans Paris qu’ Henri IV va remporter la plus grande des Victoires en parvenant à se vaincre soi-même, renoncer à la vengeance, accorder le pardon général. Après Marie de Bourgogne, Guillaume le Taciturne, et ce Jeanne d’Albret qui faisait admirablement revivre Henri IV jeune, ce nouvel et imposant ouvrage du grand historien qu’est Yves Cazaux nous Invite à reconnaître, non pas la légende d’Henri le Grand, mais son mythe Henri IV ne fut-il pas, par exception à son temps, l’incarnation de la Clémence portée au-delà des limites humaines ?

