Christel Seval
Extraterrestres – Contact et Impact
Que se passerait-il si demain des extraterrestres prenaient officiellement contact avec l'humanité terrestre ? Cette question n'est pas anachronique. Ce livre s'appuie sur des rapports aussi sérieux que celui du Brooking Institution, commandé par la Nasa, du Cometa, en France ou encore du Mutual UFO Network. Autant de questions auxquelles répond l'auteure dans ce livre qui bat en brèche beaucoup d'idées reçues.
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Écorchée
Trente ans. C’est le temps qu’il a fallu à Skirving pour dénicher la femme parfaite. Trente ans à observer les parades amoureuses de ses semblables, à les regarder s’accoupler, à mépriser la petitesse de leurs modes de vie. Trente ans avant que sa patience soit enfin récompensée. Seulement, peu de temps après leur rencontre, Shauna, sa petite amie, est victime d’un crime odieux. Et voilà Skirving condamné à reprendre sa quête de l’amour absolu. Le problème, c’est que toutes les femmes qu’il rencontre le déçoivent cruellement, bafouant ainsi la mémoire de la disparue… et obligeant Skirving à les châtier sévèrement. Or, dans le domaine de la cruauté, il n’a jamais manqué d’imagination, et c’est en lettres de sang qu’il écrit son amertume, ses exactions laissant sans voix les inspecteurs lancés à ses trousses.
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu'Une joumée d'Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu'il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu'est l'Archipel du Goulag ; pourtant, c'est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu'on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Inès de mon âme
Inès Suarez fut une véritable héroïne au destin extraordinaire et méconnu, qui participa aux côtés de Pedro de Valdivia, un des commandants de Pizarro, à la conquête du Royaume du Chili… Au milieu du XVIe siècle. Inès, jeune et humble couturière d'Estrémadure s'embarque pour le Nouveau Monde afin d'y chercher son mari, parti quelques années plus tôt, égaré par ses rêves de gloire de l'autre côté de l'Atlantique. Après une traversée mouvementée, Inès accoste au Pérou, où elle apprend que son mari est mort. Elle se sent alors libre de se joindre à une troupe de conquistadors (quelques centaines d’Espagnols et des milliers d’Indiens) en route pour le Chili. Amoureuse de leur chef Pedro de Valdivia, elle l’aidera à se sortir de bien des situations périlleuses (les attaques des redoutables guerriers Mapuches, les terreurs et les rebellions des Indiens qui, sous la contrainte, les accompagnent) grâce à son intuition féminine, son intelligence et son courage.
Le Montespan
Au temps du Roi-Soleil, avoir sa femme dans le lit du monarque était pour les nobles une source de privilèges inépuisable. Le jour où Louis XIV jeta son dévolu sur Mme de Montespan, chacun, à Versailles, félicita le mari de sa bonne fortune. C’était mal connaître Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan… Gascon fiévreux et passionnément amoureux de son épouse, Louis-Henri prit très mal la chose. Dès qu’il eut connaissance de son infortune, il orna son carrosse de cornes gigantesques et entreprit de mener une guerre impitoyable contre l’homme qui profanait une union si parfaite. Refusant les honneurs et les prébendes, indifférent aux menaces répétées, aux procès en tous genres, emprisonnements, ruine ou tentatives d’assassinat, il poursuivit de sa haine l’homme le plus puissant de la planète pour tenter de récupérer sa femme…