- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Fairy dreams
Gwyneth Rees
Fairy dreams
En Anglais – Evie gets a wonderful surprise when she goes to stay at her grandma’s house. Fairies appear in the night. They are dream fairies and they live at the bottom of Evie’s bed. Even better, Evie can go and have magical adventures with them in fairyland! Soon Evie discovers that Grandma can see the fairies too. But will they still be there when Grandma returns from hospital – and how can Evie make sure that their special brand of fairy magic will stay with Grandma forever?
Vous aimerez aussi
Un américain en Picardie : Sacrés français !
Jonathan Bradley, cost-killer, est chargé de dégraisser une petite usine de robinetterie victime de la mondialisation. L'affaire est simple, mais il tombe sur un tas d'os : le code du travail, l'Urssaf, la CGT, la grève et ses piquets, le délégué syndical qui dit toujours non, les salariés peu conciliants… Ted Stanger chasse les vaches sacrées sans complexe dans cette satire qui fera rire et réfléchir, notamment sur la place du « modèle français » dans un monde qui bouge.
L’Arnaque – Quand l’Amérique rackette la France
En décembre 2003, au terme d'un accord transactionnel, la France accepte de payer la somme astronomique de 771,5 millions de dollars aux Etats-Unis. Mais les contribuables français n'ont pas fini de régler la note d'une des aventures financières les plus osées du Crédit Lyonnais, qui avait repris au début des années 90 une compagnie d'assurances californienne en faillite : Executive Life. Un crime économique aux yeux de la justice américaine qui réclamait plusieurs milliards de dollars à la veille du procès civil. Une tentative d'extorsion de fonds aux yeux des Français qui ont dû accepter, sur les marches du tribunal de Los Angeles, en février 2005, de payer des centaines de millions de dollars de plus. Le nouveau livre d'Airy Routier révèle la face cachée de cette incroyable affaire, essentiellement décrite jusqu'ici sous son aspect franco-français.
Le secret du temple
Au cœur des ruines millénaires de la Vallée des Rois, gît le corps sans vie d'un archéologue amateur. Chargé de l'enquête, l'inspecteur égyptien Youssouf Khalifa découvre bientôt un lien entre cette mort mystérieuse et l'assassinat, jamais élucidé, d'une touriste juive quinze ans auparavant. Malgré les mises en garde, il choisit de rouvrir ce dossier brûlant avec l'aide de l'un de ses homologues israéliens. Mais, sur les terres chargées d'histoire qui s'étendent du Nil à Jérusalem, remuer le passé peut rapidement vous entraîner vers des sables mouvants. Alors même que la menace terroriste est à son comble dans la région, l'investigation des deux policiers les mène sur la trace d'un antique et fabuleux trésor convoité par des individus prêts à tous les crimes et trahisons…
99 francs
« Un rédacteur publicitaire, c’est un auteur d’aphorismes qui se vendent. » Octave, riche concepteur-rédacteur de 33 ans, se rebelle et s’insurge contre l’univers superfétatoire de la publicité qui brasse des millions d’euros en vendant des produits inutiles à de pauvres ménagères. Le rédacteur publicitaire détient le pouvoir absolu des mots et des formules lapidaires. Il suscite l’envie, influence votre inconscient et décide à votre place ce qu’il vous semblera indispensable d’acheter. À la recherche d’une pureté perdue, Octave écrit son livre pour détruire la publicité et se faire licencier. Mise en abîme de l’acte d’écrire, 99 francs est une avancée narrative qui progresse au rythme de ses réflexions ironiques, de son existence régentée par l’argent, le sexe et la cocaïne. « Tout s’achète : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi. » Ce roman est une sorte de diatribe, de confession enragée scandée par des scénarios publicitaires qui interrompent savamment le récit, non sans dérision. Octave, lucide et critique à l’égard de ce système mercantile n’en est pas moins le jouet et le restera jusqu’au bout. –Nathalie Jungerman
En gros, leur idée c’était de détruire les forêts et de les remplacer par des voitures. Ce n’était pas un projet conscient et réfléchi: c’était bien pire. Ils ne savaient pas du tout où ils allaient, mais y allaient en sifflotant – après eux, le déluge (ou plutôt les pluies acides). Pour la première fois dans l’histoire de la planète Terre, les humains de tous les pays avaient le même but: gagner suffisamment d’argent pour pouvoir ressembler à une publicité. Le reste était secondaire, ils ne seraient pas là pour en subir les conséquences.