- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Fort Navajo -11- La mine de l’Allemand perdu
Charlier Giraud
Fort Navajo -11- La mine de l’Allemand perdu
Enfin le troisième et dernier volume (très attendu) de la trilogie Marshal… Heaven, la ville frontière, ne connaît plus de répit depuis l’arrivée du nouveau représentant de la loi. Ce dernier a décidé de mener la vie dure aux trafiquants qui l’avaient laissé pour mort à la fin de l’épisode précédent. Mais on ne se débarrasse pas comme ça de Mike S. Blueberry.
Vous aimerez aussi
La moisson du diable
Au Laos, sur la frontière chinoise, le procédé complexe qui permet de transformer des algues en des aliments nutritifs par une photosynthèse naturelle oblige deux savants relevant d’idéologies ennemies à se lancer un défi angoissant. Rappelé dans la vallée où il a passé sa jeunesse, le Dr John Merchant, un microbiologiste connu, se trouve ainsi entraîné dans une compétition acharnée contre son frère nourricier Chan Thornton – biologiste lui aussi – pour mettre au point une technique qui créerait assez d’algues pour nourrir le monde. Merchant consacrerait sa découverte à la cause de la paix et de l’abondance ; l’ambition de Thornton serait de voir le procédé devenir une arme pour les communistes chinois. Cette lutte de deux hommes, rivaux en science et en amour, pour cueillir les fruits qui nourriraient deux nations opposées idéologiquement et politiquement, est dune brûlante actualité.
A tue et à toi (San-Antonio)
Dubois, lui, tout en gobant ses marennes, m’expliquait en détail la gastro-entérite de sa femme de ménage… C’est vous dire si la plus totale harmonie régnait dans la salle à manger de ces bons amis ! Et soudain, au moment pile où la mère Dubois se la radinait, portant triomphalement une gigantesque marmite recelant le cassoulet : vlan ! ou plutôt « dring ! » le bignou s’est mis à carillonner…
Traquenard en arizona
JIM CORT et BERT HARDY s’étaient con-nus à WEST POINT. Leur amitié avait été brève. Jim, ne pouvant se plier à la discipline militaire, avait préféré la vie sauvage et solitaire des plaines de l’Arizona et la compagnie des Apaches. Sa réputation de contrebandier et de « roi de la gachette » finit par lui attirer les pires ennuis. Bert, plus ambitieux que jamais, et qui brigue à présent les galons de colonel, a juré d’avoir la peau de son ancien ami. Il lui tend alors un piège machiavélique…
Qui j’ose aimer
« La Fouve » , depuis un demi-siècle, c’est une maison de femmes où Isa, âgée de dix-huit ans, a toujours vécu heureuse et libre. Le remariage de sa mère va provoquer bien des drames. Dans ce roman amer et puissant, Hervé Bazin loue le courage féminin et décrit avec une grande ,poésie le charme de la vie à la campagne.