Robert Merle
Fortune de France 03 – Paris ma bonne ville
Ce tome 3 tourne autour de l'année pivot 1572 : nous allons vivre avec intensité la Saint Barthélémy ! On retrouve Pierre de Siorac, toujours étudiant en médecine à Montpellier. Catherine de Médicis, la reine mère, est aux commandes de la France, et essaye de garder l'équilibre de paix entre catholiques et huguenots. Mais cet équilibre est précaire et Pierre assiste à une « montpellierade », une des premières manifestations violentes (il y a des morts) de la guerre de religions entre les huguenots et les catholiques papistes. A cause d'un duel, Pierre est obligé de quitter Montpellier. Il monte à Paris …
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Jeune golden boy au talent exceptionnel, Ned Allen peut se targuer d'avoir réussi puisqu'il est responsable de la vente d'espaces publicitaires pour CompuWorld, un des magazines d'informatique les plus performants du marché. Avec Lizzie, sa femme, il profite de la vie trépidante de Manhattan, dépense sans compter et voit l'avenir en rose. Jusqu'au jour où CompuWorld est brusquement racheté par un concurrent et Ned licencié. Un coup de gueule… un coup de poing malheureux, et voilà sa réputation en miettes. Toutes les portes se ferment devant lui, le chômage dure, désespérant. Quand Lizzie le quitte, il croit toucher le fond. Au terme d'une inexorable descente aux enfers, Ned est prêt à tout accepter… même la proposition d'un homme d'affaires louche. Erreur. Lorsqu'il prend la mesure du guêpier dans lequel il s'est fourré, il est coincé. Mouillé malgré lui dans un meurtre, il lui faudra plus que du bagout pour sauver sa peau.
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Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : « Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé? » Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon coeur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute cou-leur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan.
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