- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Funeral in Berlin
Len Deighton
Funeral in Berlin
En Anglais – FUNERAL IN BERLIN is a spellbinding tale of espionage and its counter in which double and triple crosses are common. Berlin with its infamous wall symbolized the Cold War as did no other place. It was like theatre, but is war for real. « Len Deighton has always been fascinated with the Cold War in a way that could be called scholarly…one always feels that the intricacies of espionage and of the Soviet Union’s spy apparatus rest on serious research. And he writes with effortless mastery. » (The Wall Street Journal). « A most impressive book, a chronicle of our times, in which the tension, more like a chronic ache than a stab of pain, never lets go. » (The London Evening Standard)
Vous aimerez aussi
Syncopes
Quand Cassandra Cassidy, une jeune interne à l’hôpital de Boston, épouse le docteur Thomas Kingsley, c’est pour elle un rêve devenu réalité. Le docteur Kingsley est le chirurgien en cardiologie le plus brillant de la ville, et peut-être de la côte Est. Son talent, sa fortune et son charme en font un parti presque inespéré pour cette jeune femme intelligente et courageuse, mais timide. Pourtant, ce qui aurait pu être un conte de fées dégénère. Entièrement dévoué à ses malades, Thomas se conduit de plus en plus en étranger hostile avec celle qui l’aime. Au moment où le mariage de Cassandra vacille, la rassurante sécurité du monde hospitalier semble, elle aussi, menacée : Cassandra est persuadée qu’à l’hôpital de Boston quelqu’un tue en provoquant des syncopes mortelles. Quelqu’un décide qui doit vivre et qui doit mourir.
Meurtre sur vidéo
Sur le thème fascinant de la gémellité, et plus précisément des « jumeaux-miroirs », l’auteur a conçu un récit riche en action, suspense et rebondissements, qui vous réservera d’innombrables surprises. Elle n’avait pas d’alibi. Elle n’avait pas commis le crime odieux dont elle était accusée. Comment l’aurait-elle pu, alors qu’elle ignorait jusqu’à l’existence de la victime, un certain Eddie Gordon, dealer et escroc notoire ? Pourtant, six témoins l’avaient reconnue formellement lors de la séance d’identification qui avait suivi son arrestation pour meurtre. Tous juraient avoir vu Dana ce soir-là, sur le parking du bar. Jusqu’à cet enregistrement vidéo qui en apportait la preuve. Un enregistrement où on la voyait, un revolver à la main, accomplir le geste fatal… A présent, Dana sentait sa raison faiblir: était-elle folle ? Psychopathe ? Souffrait-elle d’un dédoublement de la personnalité? Elle ne savait plus, n’osait plus rien désirer. Seul un homme l’aidait à se raccrocher à la réalité. Kurt, en effet, était la vie, la sensualité, l’énergie faites homme. Kurt, son avocat, saurait bien la tirer de ce guêpier…
Petite sœur
Lorsque la mort de son père ramène Beth à Oldham, dans le Maine, elle ne s’attend guère à retrouver autre chose que de mauvais souvenirs, dans cette maison qui n’a jamais été un foyer. Et surtout, il y a Francie, sa jeune soeur de quatorze ans, de qui tant de choses la sé-parent… Pourtant le contact se renoue. Au point que Francie est prête à quitter Oldham pour aller vivre avec sa soeur aînée à Philadelphie. Alors surgit Andrew, le petit ami de Francie. Un garçon de vingt et un ans, agressif et déséquilibré, porteur d’un passé tragique… Et qui n’entend pas partager Francie. Le suspense implacable et l’insoutenable angoisse qui s’instaurent à partir de là confirment la place de tout premier plan, aux côtés d’une Mary Higgins Clark, de l’auteur d’Un étranger dans la maison.
Le dernier des justes
Selon une antique tradition talmudique, le salut du monde repose sur trente-six justes, les Lamed-waf, en qui se cristallise la souffrance humaine. Rien ne les distingue des autres hommes; ils s’ignorent souvent eux-mêmes mais, sans eux, l’humanité étoufferait de douleur. Or la légende veut que Dieu ait accordé au rabbin Yom Tov Lévy la grâce de faire naître un juste par génération dans sa descendance. Ceci se passait au Moyen Age que d’aucuns nomment Age des Ténèbres et qui fut aussi celui des clartés sinistres projetées par les bûchers de l’Inquisition. Les siècles suivants, bien qu’appelés siècles de lumière, ne lui cédèrent en rien sur ce point-là et, justes ou non, les descendants du rabbin connurent plus que leur lot de persécutions qui les ont obligés à fuir à travers l’Europe en quête d’un havre de paix.