Marc Lévy
Ghost in love
Ils ont trois jours à San Francisco. Trois jours pour écrire leur histoire. Que feriez-vous si un fantôme débarquait dans votre vie et vous demandait de l’aider à réaliser son vœu le plus cher ? Seriez-vous prêt à partir avec lui en avion à l’autre bout du monde ? Au risque de passer pour un fou ? Et si ce fantôme était celui de votre père ? Thomas, pianiste virtuose, est entraîné dans une aventure fabuleuse : une promesse, un voyage pour rattraper le temps perdu, et une rencontre inattendue… Digne des plus belles histoires de Capra et de Billy Wilder, Ghost in Love donne envie de croire au merveilleux.
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De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
Le chaos et la nuit
Celestino Marcilla, Madrilène de famille bourgeoise, a milité à gauche pendant les années qui précédèrent la guerre civile, puis combattu avec une bravoure remarquée dans les milices, puis s'est réfugié en France au moment de la défaite de 1939. Alors une fille – son unique enfant – lui est née, Pascualita, et sa femme est morte. Celestino a emmené sa fille avec lui à Paris, qu'il n'a pas quitté depuis. En 1959, elle a vingt ans, et il en a soixante-sept. Celestino, à Paris, vit de ses rentes, qui lui donnent une certaine aisance. Il ne fait rien, que penser ou rêver politique, passant ses journées à lire et à annoter des journaux et des livres, à écrire des articles de politique ou de sociologie qui sont refusés partout, et un ouvrage qui n'avance pas – au côté de Pascualita, qui n'a qu'indifférence et dédain pour les préoccupations ou plutôt l'obsession de son père.
Les aventures de Boro – Tome III – les noces de Guernica
Revoici « Boro », son insolence et sa désinvolture de héros fitzgeraldien, dans le troisième volet de ses aventures. Nous sommes en 1937, alors que les républiquains cèdent devant les troupes franquistes. La guerre d'Espagne a oublié le photographe-aventurier sur la paille humide d'un cachot, dans les couloirs des condamnés à mort, parmi les cris des suppliciés.Mais pendant ce temps, dans le Paris du Front populaire, ses amis ne restent pas inactifs. Boro parviendra-t-il à s'évader de sa forteresse et à échapper à son gardien, l'impitoyable Von Riegenburg ? Sauvera-t-il Solana, sa compagne de cellule, farouche passionaria dont la beauté pourrait lui faire oublier la lointaine Maryika ?
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En avril 1905, Ram et Lucie Pasquier ont déménagé rue du Faubourg-Saint-Antoine où ils élèvent la jeune Suzanne et les différents enfants du clan Pasquier s'épanouissent dans leurs domaines respectifs : Ferdinand vient de se marier et travaille, comme son épouse Claire, dans l'administration ; Cécile développe ses talents de pianiste ; Laurent Pasquier travaille à l'hôpital Boucicaut avec Renaud Censier, un biologiste réputé de cinquante ans qu'il admire ; et Joseph réussit dans de juteuses affaires de mines argentifères au point d'acheter un petit domaine à la campagne, près de Nesles-la-Vallée d'où est issu le patriarche de la famille. Sur une proposition de Justin Weill, l'ami d'enfance de Laurent, ce domaine est baptisé la Pâquellerie, et Joseph projette d'y faire une pendaison de crémaillère somptueuse pour épater son entourage et favoriser la publicité de ses affaires. Il souhaite inviter des politiciens, des artistes, et des scientifiques, dont Censier le patron de son frère …

