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Zoran
Ivor – 5 – Les mercenaires vont au Paradis
Ivor est très grièvement blessé lors d’une incursion Viking, alors qu’il se bat avec ses compagnons d’arme. Ceux-ci le conduisent vers un jeune herboriste qui, espèrent-ils, le soignera. L’hiver a passé et Ivor est sur pied. Thierry, homme d’armes du seigneur et ami d’Ivor, revient quérir l’herboriste. Il vient demander de l’aide pour sa suzeraine qui est blessée. Il semble très attaché à cette jeune princesse, mariée de force au vieux roi. L’herboriste, son loup et son ours auxquels Ivor s’est attaché, partent au château. Mais la menace Viking revient avec les beaux jours…
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The shadow man
En Anglais – In Berlin in 1943, he was known and dreaded as Der Schattenmann–a merciless « catcher » of Jews for the Nazis. Few saw his face and lived. In present-day Miami Beach, he has resurfaced–to silence forever the survivors who remember. Unless retired homicide detective Simon Winter can find him first.
L’absence
… Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, son pas hésitant, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son cœur trop lent, son cœur d'enfant blessé, blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré… « Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence… »
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »