- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Ivor – 5 – Les mercenaires vont au Paradis
Zoran
Ivor – 5 – Les mercenaires vont au Paradis
Ivor est très grièvement blessé lors d’une incursion Viking, alors qu’il se bat avec ses compagnons d’arme. Ceux-ci le conduisent vers un jeune herboriste qui, espèrent-ils, le soignera. L’hiver a passé et Ivor est sur pied. Thierry, homme d’armes du seigneur et ami d’Ivor, revient quérir l’herboriste. Il vient demander de l’aide pour sa suzeraine qui est blessée. Il semble très attaché à cette jeune princesse, mariée de force au vieux roi. L’herboriste, son loup et son ours auxquels Ivor s’est attaché, partent au château. Mais la menace Viking revient avec les beaux jours…
Vous aimerez aussi
L’île de France vue du ciel
Saisissant sous un angle inhabituel des lieux et des paysages familiers, la photographie aérienne en bouleverse les aspects traditionnels, élargit notre champ visuel, change les perspectives. Ainsi, Yann Arthus-Bertrand nous fait découvrir une vieille demeure cachée dans la verdure, fait apparaître une mosaïque de petits jardins enchanteurs ou nous montre les jeux délicats du soleil sur les courbes majestueuses de la Seine. Nous sommes invités à revisiter cette région, réputée pour la douceur de sa lumière et l'exceptionnelle beauté de ses châteaux. Mais c'est aussi une région dynamique, où les architectures les plus audacieuses savent s'intégrer à un paysage verdoyant. Toute en nuances, Ile-de-France se prête à merveille aux talents du photographe, habile à en dresser une cartographie subtile.
Mont-Oriol
Comment à force de bluff, de supposés miracles et de faux certificats délivrés par des médecins complaisants on parvient à fabriquer une ville d’eaux et à lotir au plus haut prix un paysage entier en exploitant la crédulité des uns et en s’appuyant sur la malhonnêteté des autres. Le conflit de la bourgeoisie locale, du propriétaire paysan âpre et rusé et de la banque, de l’affairisme parisien. Un des plus cruels portraits du corps médical que l’on ait jamais faits et une histoire sentimentale peut-être plus cruelle encore. En démontant les rouages de la spéculation foncière, en analysant le mécanisme de la concentration capitaliste à la fin du XIXe siècle, Maupassant a écrit, avec Mont-Oriol, le plus moderne de ses romans.
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »