- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- J’ai donné la vie dans un camp de la mort
Madeleine Aylmer-Roubenne
J’ai donné la vie dans un camp de la mort
«J’avais autre chose à dire que la vie des camps. Elle est connue de tous ceux qui ont bien voulu la connaître… Je voulais témoigner d’autre chose, non de la mort mais de la vie. Je voulais témoigner de mon triomphe par la naissance d’une enfant, et de sa survie…»
Tout juste mariée en ce printemps 44, Madeleine est déportée. Destination Ravensbrück. Etre enceinte n’offre aucun avantage dans ce camp. Bien au contraire…
Mais Madeleine fera tout pour garder en vie l’enfant qu’elle porte, aidée par ses compagnes, toutes solidaires. En donnant la vie, elle-même naît une seconde fois, surmontant horreur et violence.
C’est ce parcours qu’elle nous décrit, sa transformation profonde au sein d’un monde inhumain…
Vous aimerez aussi
Les pièges de la passion
Cette histoire se passe en Australie , une immense ferme d’élevages , des personnages tels que Helen , la seconde femme de Phillip Koenig, un homme au caractère dominateur et despote, Jon, leur fils qui ne vit que pour l’entreprise. Il y a eu la première femme de Phillip, qui est morte lors d’une chute de cheval, de ce premier mariage est né Alex qui s’est enfui de la ferme et que l’on a jamais retrouvé. Il y a aussi Charles , le frère cadet de Phillip amoureux d’Helen, Ben le comptable et père Geena , une jolie métisse dont la mère décédée était une aborigène, deux policiers corrompus, nous apprendrons cela à la fin du roman, voila pour les personnages principaux…
Le Rosaire
Faut-il être jolie pour être aimée ? Les richesses inépuisables d’un âme noble et généreuse ne sont-elles pas les plus belles armes dans la difficile conquête d’un amour partagé ? C’est pour en avoir douté que Jane Champion provoque involontairement le drame grâce auquel, par un stupéfiant retournement du sort, les trompeuses apparences seront balayées au profit de la vérité du cœur.
L’échelle de soie
« J’ai abordé sans méfiance, l’autre soir, la lecture de votre récit dans une revue… Mais presque aussitôt, le texte m’a fait signe, une phrase m’a alerté. Nous nous étions connus, Anne et moi, à R… ville du Nord que balayait, au cœur de l’été, une bise sibérienne ». Bouleversé, l’auteur de L’échelle de soie, court roman où sous le masque de la fiction il se délivrait d’un amour déçu, comprend que cette lettre étrange lui apporte enfin la vérité qu’il a jadis tant souhaité connaître. Anne, Gérard et un autre jeune garçon avaient cru pouvoir impunément s’amuser au jeu de l’amitié et de l’amour au milieu du paysage enchanteur de la côte napolitaine où « l’on respirait le parfum de mélancolie, de tendresse et de cruauté à travers lequel vous atteint parfois la secrète poésie du monde ». Mais la poésie du monde fait place aujourd’hui à la réalité brutale et douloureuse où le drame reste omniprésent.
Une vie volée
« Le suicide est une forme de meurtre – de meurtre prémédité. Ce n’est pas quelque chose qu’on fait dès la première fois qu’on y pense. Il faut d’abord s’y habituer. Et il faut en avoir les moyens, l’occasion et la motivation. Un suicide réussi exige une bonne organisation et du sang-froid » 1967, Susanna Kaysen a dix-huit ans. Elle a du vague à l’âme, elle est mal dans sa peau – comme beaucoup d’adolescentes, en somme. Mais de là à se retrouver internée comme malade mentale ! C’est pourtant ce qui va lui arriver… Tout commence par une visite chez un médecin qu’elle consulte pour un banal furoncle, la suite est un engrenage effrayant, dont elle ne sortira qu’un an et demi plus tard. Sans un mot de trop, sans fioritures, l’auteur nous décrit la vie quotidienne dans un hôpital psychiatrique réputé pour ses méthodes « modernes » et ses pensionnaires célèbres.