- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jaunes-1- Aux limites du réel
Bucquoy, Tito
Jaunes-1- Aux limites du réel
Pour Daniel, tout débute par une mutation à la police judiciaire de Dinant où il se rend sans grande conviction, la ville lui paraissant une cité sans grande animation. Cependant dans le train qui le mène à Dinant, il a une curieuse conversation avec une femme qui lui relate l’assassinat de son fils par la Gestapo. Simple coïncidence ou véritable manipulation ? Jaunes s’interroge, car il y a peu, à Bruxelles, il avait reçu une étrange lettre datée de… 1938, contenant une carte du parti rexiste à son nom ! Et le mystère s’épaissit d’avantage lorsque arrivé dans sa nouvelle affectation, il doit enquêter sur l’incendie du château du Comte de Mall, lequel fut exécuté par les nazis en représailles d’une attaque de ses chiens contre un officier.
Vous aimerez aussi
Le Royaume du Nord – Harricana
Nul mieux que Bernard Clavel ne sait communiquer les grands mouvements de la nature, ses splendeurs et ses secrets. Nul mieux que lui n’exprime les émotions des âmes simples. Ses personnages nous bouleversent à force de tendresse et de générosité. Bernard Clavel sait faire parler les coeurs. Il semblait né pour nous conter ce Grand Nord où la vie de chaque jour est encore une aventure, où l’histoire de chaque famille est une vraie saga, ce pays qui renouvelle totalement son inspiration. Avec Harricana commence une grande épopée qui vous envoûtera dès ses premiers frémissements.
Fausse rivière
1865-1892 en Louisiane. La douloureuse période de la Reconstruction, l’arrivée des politiciens et des aventuriers du Nord, la misère des Noirs affranchis, la naissance du Ku Klux Klan et la réussite de quelques grandes familles d’Acadiens. Printemps 1865 : Après les drames familiaux et la ruine provoquée par la guerre de Sécession, la dame de Bagatelle et Clarence Dandrige, le fidèle intendant, prototype des Cavaliers du Vieux Sud, tentent de sauver le grand domaine cotonnier, symbole d’une civilisation aristocratique en perdition.
L’apparition de personnages sympathiques, comme Castel-Brajac, le joyeux Gascon, ou Liponne l’Acadienne, voire ambitieux et engagés dans la politique, comme Charles, apportent l’espoir d’un sang neuf… Fausse-Rivière, peut être lu séparément. C’est le deuxième tome de la série Louisiane, qui brosse une fresque romanesque et historique relatant, de 1830 à 1945, la vie d’une famille de colons français dont les ancêtres s’étaient installés sur les rives du Mississippi dès la première moitié du XVIIIe siècle. Fausse-Rivière a reçu en 1979 le prix Bancarella, prestigieuse récompense décernée par les libraires italiens ; a connu un succès comparable à celui de Louisiane et de nombreuses traductions, a suscité un long feuilleton radiophonique, a inspiré une série télévisée et un film. La critique unanime a reconnu son auteur, Maurice Denuzière, comme l’un des maîtres du roman historique.
Mini encyclopédie de la vie pratique
Toutes les réponses aux questions les plus utiles dans la vie courante. Comment comprendre le code des médicaments et des conserves; comment bien acheter un appareil électroménager et organiser un déménagement; où trouver les organismes qui défendent les consommateurs; quels sont les différents modes de contraception; comment résoudre soi-même les petits ennuis domestiques; quelles sont les règles de l’adoption; quelles sont les bonnes garanties d’assurances; ce qu’il faut savoir des viandes de boucherie,etc.
Apollonie, reine au coeur du monde
Ecrit à partir des souvenirs d’Henri Jurquet et de ses carnets, ce récit (paru en 1984) témoigne avec pudeur et vérité du quotidien de la France rurale à son crépuscule, et notamment du rôle des veuves de 1914-1918, à travers la vie d’un hameau de l’Aveyron au début du XXe siècle. Femme multiple et souveraine, Apollonie appartenait à cette société économe, dure avec elle-même, mais riche de connaissances et soucieuse d’avenir. Ses mains, marquées par le jardin, l’eau, le feu, les outils, pétrissaient le pain, caressaient l’enfant, maniaient avec douceur et respect le maigre argent du minuscule royaume sur lequel elle régnait… Elle rendit à ses morts les services nécessaires et quitta son monde en ordre. Elle apprit à son petit-fils, orphelin, à tenir les bœufs, à faucher l’herbe, à planter droit, savoirs inutiles puisque, de la naissance d’Apollonie à sa mort, le vieux monde acheva de basculer.