- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jaunes-3- Ordre nouveau ?
Bucquoy, Tito
Jaunes-3- Ordre nouveau ?
Ordre nouveau ? est le volume 3 de la série Jaunes par Jan Bucquoy et Tito, paru en 1982. Il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Glénat.
Vous aimerez aussi
Frères d’armes
Ils étaient trois légionnaires: Morgan, l'éternel rebelle, Riss, l'Alsacien, rescapé de Stalingrad, Tiercelin, l'ancien des Brigades Internationales. Ils s'étaient perdus en 1945, en Europe, sur les Sentiers de la Guerre. Ils se retrouvent, en mars 1948, au bord de cette route de jungle où a commencé la vraie guerre d'Indochine. Ce soir-là, dans la fureur du combat, chacun d'eux va découvrir une raison personnelle de se battre. Pour Morgan, ce sera Chantuk, une plantation du Laos à laquelle il rendra vie. Pour Riss, Thi Ba, la paysanne tonkinoise à travers laquelle il épousera l'Asie. Pour Tiercelin, N'guyen Binh, le sanguinaire général viêt-minh, le borgne qui mourra misérablement abattu par les siens. De Saigon à la R.C. 4, du Mékong au Plateau Moï, Morgan, Riss et Tiercelin, ces frères d'armes, poursuivent leur destin d'hommes emportés par le cours inexorable de la guerre d'Indochine…
L’Automne dans le Printemps
Ce recueil regroupe six nouvelles composées par Ba Jin dans les années 1930 : La pluie, La digue Su, A la fonte des neiges, Une nuit sous la lune, Un cœur d’esclave et L’automne dans le printemps. Les personnages : de jeunes intellectuels progressistes, révoltés contre l’ancienne société, à la poursuite de l’amour, de la démocratie, de la liberté, et de simples gens du peuple aussi, avec leurs difficultés et leurs drames. Pureté du langage, intensité des sentiments, profondeur psychologique, et cette tonalité poétique et triste, typique des œuvres de Ba Jin à cette époque : tout ici témoigne que l’écrivain n’est pas seulement un maître du roman, mais un nouvelliste hors pair.
Pour rétablir la vérité
Non achevé au moment du décès de son auteur, il a été mis en ordre et publié selon les souhaits de Pompidou par sa veuve, Claude Pompidou et par Jean-François Saglio. Le titre Pour rétablir une vérité n’a pas été choisi par l’auteur lui-même et est un extrait des premières pages de la partie sur mai 1968. Il expose dans l’introduction une conception d’un pouvoir solitaire où le président après avoir écouté les avis décide au final seul.
Henri IV
Dans la mémoire des Français, Henri IV est le seul roi à n’avoir connu aucune disgrâce. Sa mort l’a auréolé d’une indestructible popularité et son règne est vite devenu l’auberge espagnole de notre histoire. Le Gascon caustique méprisant la peur, l’homme d’action ennemi des parlottes, le bon vivant, l’homme de la poule au pot, le Vert-Galant sûr de ses conquêtes : autant d’images d’Epinal que Jean-Pierre Babelon réajuste sans parti pris ni complaisance, pour expliquer le phénomène Henri IV.Le 1er août 1589, assiégeant Paris en pleine rébellion, Henri III, victime d’un attentat, murmure à celui qui sera demain Henri IV :« Vous voyez comme vos ennemis et les miens m’ont traité. Il faut que vous preniez garde qu’ils ne vous en fassent autant. » Le dernier des Valois disparu, Henri de Navarre devient roi d’une France déchirée par les guerres de la Ligue, où la monarchie traverse un de ses pires moments.Cinq ans sont nécessaires au premier Bourbon pour ouvrir les portes de la capitale, quatre autres pour apaiser les armes et les consciences. Il ne lui reste que douze ans pour créer, avec l’aide de Sully, un Etat moderne : l’économie, l’agriculture, l’urbanisme, l’université, il n’a de cesse de tout réorganiser et de continuer la tradition monarchique séculaire, comme s’il avait su que peu de temps lui était octroyé pour accomplir sa tâche.Pour Henri IV, ce célibataire mal marié, qui se reconnaissait trois plaisirs, la guerre, la chasse et l’amour, la plus grande joie fut sans doute la naissance du dauphin, le futur Louis XIII. Il avait alors 48 ans. Après avoir rétabli l’unité de son royaume et assuré le « bien-être de ses peuples », il fondait une nouvelle dynastie. Le fils de Jeanne d’Albret pouvait-il rêver d’une plus belle destinée ?Au bout du compte, un caractère et un comportement peu ordinaires, un pragmatisme et un relativisme qui tranchent vigoureusement sur les mentalités de l’époque, et un esprit qui nous est étrangement proche.