Béatrice Nicodème
J’avais treize ans sous l’occupation
Dès 13 ans
Nantes, 1943. Au plus fort de l’occupation allemande, Félix, treize ans, ne rêve que de rejoindre un réseau de résistance. Une sombre histoire de corbeau dénonçant des Nantais aux Allemands va lui permettre de faire la preuve de son courage et de sa détermination. Doutant de tout et de tous, Félix se lance à corps perdu dans une enquête difficile et âpre qui l’amènera à regarder d’un autre oeil tous ses proches.
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Fausses jumelles et vrais sosies
Dès 12 ans – 156 pages – On a volé l’échelle de corde de Bouboule. Finies les escapades nocturnes du gros gourmand ! Et, comble d’infortune, on veut le faire chanter pour lui rendre son instrument. Tarzan et les TKKG l’ont décidé : il faut traiter cette affaire tambour battant. Il se trouve que les maîtres chanteurs voient grand, et l’affaire se corse lorsqu’ils décident d’opérer à … grande échelle
Louison et Monsieur Molière
Louison n’a que dix ans quand Molière la choisit pour jouer dans sa dernière pièce. Fille de comédiens, la fillette va enfin pouvoir réaliser son plus beau rêve : être actrice. Et pas n’importe où ! À la Comédie Française, devant la cour du Roi-Soleil, Louis XIV…
Toujours joyeux ! Saint Dominique Savio
Cette courte vie de Dominique Savio (1942 – 1954) en 13 chapitres est le cadeau de communion par excellence : Dominique Savio fit très jeune sa première communion (à 7 ans) alors que traditionnellement elle était à 12 ans. C’est cette maturité spirituelle que l’on découvre au fur et à mesure du récit. La vie de Dominique touche car dès tout petit, il prit sa foi au sérieux, n’hésitant pas à la vivre à plein et à la partager autour de lui, se montrant auprès de ses camarades un véritable témoin du Christ et un leader dans le bien. Pie XII canonisa le jeune italien le 12 juin 1954 saint patron des jeunes.
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»