- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- Je voulais retrouver ma mère
Saroo Brierley
Je voulais retrouver ma mère
C’est un jour comme un autre dans la vie de Saroo. Le garçon, âgé de cinq ans, est dans une gare du fin fond de l’Inde en train de ramasser quelques pièces lorsqu’il monte dans un train à quai. Le lendemain, Saroo se réveille à Calcutta. Dans l’immense ville, il est complètement seul, sans aucun papier. Il est recueilli par un orphelinat où, quelques mois plus tard, un couple d’Australiens va l’adopter. Saroo grandit, mais, depuis l’Australie, il pense toujours à sa famille biologique.
Vous aimerez aussi
Le pari du FN
Qui vote Front national et pourquoi ? Les protestataires, les racistes, les exclus, les antisémites ? Ce serait trop simple. Au-delà des discours même de l’extrême-droite, au-delà des sondages toujours sujets à caution, observons la géographie des votes. Les cartes révèlent à une échelle très fine et précise le trouble ressenti par de nombreux Français : disparition des relations de voisinage, expulsion des métropoles, blocage de l’ascension sociale. Le Front national paraît dès lors l’unique moyen de changer la donne. Pari désespéré, pari perdant en probabilité, mais pari logique… et contagieux. 30 cartes et infographies en couleurs.
Moment d’un couple
Juliette, ingénieur dans l’informatique, et Olivier, journaliste, ont deux enfants et une vie de couple moderne. Lorsque Olivier avoue à sa femme avoir une liaison, l’univers de Juliette vacille. Comment survivre à la trahison? C’est à cette question que ce roman, écrit au scalpel, sans concession mais non sans humour, entend répondre. Rien n’y échappe, ni les risques de la vie à deux et les glissements du désir ni les contradictions d’un certain féminisme et la difficulté d’être un homme aujourd’hui.
Extension du domaine de la Guerre
Cruellement frappée par le terrorisme, la France est entrée en guerre. Son ennemi : le salafisme totalitaire, incarné par l’Etat islamique, qui campe sur cinq continents. Nous avons pris désormais la tragique mesure de cette guerre d’un nouveau type qu’il nous faut livrer au plus loin, en Mésopotamie et au Sahel, et au plus près, au sein de nos villes. Notre pays n’est pas le seul à monter au front, mais il est une cible de choix, non par ce qu’il fait, mais par ce qu’il est. Ce conflit nous invite à une mobilisation citoyenne puissante. Une mutation d’autant plus indispensable que l’esprit guerrier envahit la planète, aussi bien sur le terrain que sur la Toile : des familles partent faire le djihad ; des bandes armées bâtissent au nom d’Allah un proto-Etat criminel en Mésopotamie ; les Russes se taillent un Etat-croupion en Ukraine ; Pékin pousse ses pions navals en mer de Chine tandis que la Turquie rêve de restauration ottomane. Tout cela sous le regard de l’Iran et de l’Arabie saoudite qui se vouent une haine inextinguible et se font la guerre au Yémen.
Écrit en lettres de sang
A Londres, soir du 31 août. En regagnant sa voiture, la jeune policière Lacey Flint découvre une femme lacérée de coups de couteau, qui finira par mourir dans ses bras. Quelques heures plus tard, une journaliste reçoit une étrange lettre anonyme rappelant celles qu'envoyait Jack l’Éventreur aux journaux. Lorsqu'un deuxième meurtre a lieu, les ressemblances ne font plus aucun doute pour Lacey : l'assassin utilise le même mode opératoire et frappe les mêmes jours de l'année que son maître à penser. Mais pourquoi s'acharner sur des mères au foyer sans lien entre elles ? Tandis que l'enquête avance, des pans du passé de Lacey refont surface et semblent la relier au tueur. Cela n'échappe pas au commandant Joesbury, qui exaspère la jeune femme au plus haut point, l'attire, et la soupçonne aussi.