- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jerry Spring -12- El zopilote
Jijé
Jerry Spring -12- El zopilote
El Zopilote est la quinzième histoire de la série Jerry Spring de Jijé. Elle est publiée pour la première fois du no 1252 au no 1273 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d’album en 1964.
Vous aimerez aussi
La déchaîne
D’avril à octobre 1981, Galia tient un journal ou elle note, au fur et à mesure, ses découvertes, son émancipation sexuelle, ses déchaînements. Jeune fille de « bonne famille », intelligente, jolie, pleine de curiosité, de santé et d’humour, elle quitte à dix-huit ans ses parents, sa province natale et découvre un Paris insolite. Hôtels de luxe, clubs privés, lieux secrets, jardins obscurs… Tout un monde sexuel, autrefois interdit, s’ouvre à elle. A chaque nouvelle expérience, elle se découvre et s’interroge : que signifie cette pulsion irrésistible qui la pousse sans cesse au plaisir ? Pourquoi cherche-t-elle encore et ailleurs des sensations nouvelles ? Pour y voir plus clair, elle décide de commencer une psychanalyse, mais les psychothérapeutes qu’elle rencontre l’amènent de surprise en surprise.
Pour rétablir la vérité
Non achevé au moment du décès de son auteur, il a été mis en ordre et publié selon les souhaits de Pompidou par sa veuve, Claude Pompidou et par Jean-François Saglio. Le titre Pour rétablir une vérité n’a pas été choisi par l’auteur lui-même et est un extrait des premières pages de la partie sur mai 1968. Il expose dans l’introduction une conception d’un pouvoir solitaire où le président après avoir écouté les avis décide au final seul.
Les deux tomes du livre » Pratique de la planche à voile » s’enchainent en une suite logique. Ils s’adressent à tous ceux qui veulent apprendre seuls, qui veulent s’informer ou qui désirent enseigner. Le premier concerne les pratiques désireux de s’initier ou de se perfectionner. Avec le support théorique, c’est le tronc commun nécessaire aux différentes pratiques.
Sept dames de qualité
C’est la première fois qu’un auteur féminin tire de l’oubli combien immérité où elles étaient plongées, des femmes belges en avance sur leur temps. En 1840, une intellectuelle, Irénée Pirmez, apprend le grec et le latin pour instruire ses enfants. Elle se passionne aussi bien pour la vie des saints que pour les tables tournantes chères à Victor Hugo. Isabelle Gérard nous raconte son histoire et celles de six autres « dames de qualité » : Anna Van Doren, Cécile de Meeus, Jane de Launoy, Isabelle Blume, Andrée de Jongh et Colette d’Ursel … toutes aussi passionnantes et intéressantes les unes que les autres.

