Jean-François Robin
Journal d’un tournage : La fille du Puisatier
Jean-François Robin nous raconte avec passion le tournage de « La Fille du Puisatier » parce qu’en homme d’image, il l’a « vécu de l’intérieur ». Il nous dévoile les anecdotes du filmage, les angoisses de l’acteur-metteur en scène, mais aussi les joies et même les larmes de toute une équipe. Il parle des tensions qui surgissent là où on ne les attend pas, des fous rires, de l’exaltation de chacun et de la connivence de tous. Il raconte la construction des travellings dans la forêt, dans les rivières, les scènes de jour tournées la nuit et les scènes de nuit tournées le jour. Sans oublier ce vent de folie, le mistral, qui a soufflé sur tout le tournage. Avec ce journal quotidien, Jean-François Robin nous entraîne avec enthousiasme dans les coulisses de ce grand mélodrame qu’est « La Fille du Puisatier ».
Vous aimerez aussi
Point de mire
Quand Nick Stone, l’agent de l’Intelligence Service, rate une tentative d’assassinat approuvée en haut lieu, ses patrons ne lui laissent pas le choix : il doit partir au Panama pour terminer sa mission ou bien Kelly, sa protégée, une petite orpheline de onze ans, sera tuée. A n’importe quelle autre période de sa vie, cette mission aurait été facile pour Stone. Mais il est à la croisée des chemins et voudrait bien changer de vie. En arrivant au Panama, il est sur le point de craquer. Dans ce pays, il ne faut pas se fier aux apparences et, très vite, il se retrouve au centre d’une conspiration meurtrière où sont impliqués la guérilla colombienne, le gouvernement américain et la haute finance chinoise. Une conspiration qui pourrait coûter la vie à des centaines d’innocents… Stone est maintenant le seul qui puisse empêcher ce massacre.
Fortune de France – 11 – La gloire et les périls
La prise de La Rochelle, en 1628, par Louis XIII et Richelieu, fut un événement considérable. Dernier acte des affrontements entre catholiques et huguenots, elle sonna le glas des entreprises anglaises sur le continent. A l’intérieur, elle renforça la royauté et l’Etat, ambition majeure du cardinal- ministre. Le comte d’Orbieu (pierre de Siorac, ami du roi depuis l’enfance de ce dernier) relate à la première personne, dans un français robuste et dru que n’a pas encore épuré l’Académie, ce siège qui dure un an, et dont l’élément clé est la gigantesque digue qui, barrant la baie, interdit tout secours à la ville. Dans les intervalles de missions aussi délicates que périlleuses – l’une l’amène à l’intérieur même de la ville assiégée -, le fidèle serviteur du roi n’oublie pas sort amour pour le gentil sesso. La pensée de Mme de Brezolles peut-elle suffire à conjurer les rencontres bec à bec avec la coquine Perrette ?
Le onzième volume – toujours aussi entraînant, aussi riche de personnages et de péripéties – de la saga Fortune de France.
Fortune de France – 10 – Le lys et la pourpre
Avril 1624, octobre 1627. Trois années marquées par de nombreux événements : entrée de Richelieu au Conseil du roi, guerres incessantes contre les huguenots, entreprises galantes du duc de Buckingham auprès de la reine de France… A la cour, les intrigues se multiplient : Anne d’Autriche conspire avec Monsieur, frère du roi, contre son époux. La noblesse insoumise cherche à faire tomber le Cardinal. Exils, geôles, décapitations punissent les rebelles ; le siège de La Rochelle commence. L’Etat royal s’affirme envers et contre tout, à travers la complicité qui se noue peu à peu entre le jeune roi et son ministre. Devenu comte d’Orbieu, Pierre-Emmanuel de Siorac, fidèle agent de Louis XIII, traverse au gré de ses missions les milieux les plus divers : il côtoie courtisans, manants, aubergistes, ribaudes, marins, connaissant autant d’aventures galantes que d’intrigues politiques… Roman au rythme endiablé, tableau d’histoire fidèle et vivant : dans le prolongement de Fortune de France, Robert Merle nous donne un nouveau chef-d’oeuvre.
Fortune de France 08 – L’enfant-Roi
Henri IV est tombé sous le poignard de Ravaillac. Louis XIII n’a que neuf ans et une mère, Marie de Médicis, qui entend bien conserver le plus longtemps possible, au profit du Florentin Concini, la réalité du pouvoir… Le chevalier Pierre-Emmanuel de Siorac est le témoin des sept années au cours desquelles l’enfant-roi, qu’il sert avec un dévouement absolu, va en secret tisser son réseau, s’initier aux affaires du royaume, jusqu’au coup de force qui lui donnera le trône à quinze ans et demi.