- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jugurtha-1- Le lionceau des sables
Hermann - Vernal
Jugurtha-1- Le lionceau des sables
Un jeune prince trop populaire, que son oncle, le Roi de Numide, essaye d’écarter pour favoriser ses fils. Voilà Jugurtha envoyé en Ibérie pour aider les soldats romains à faire le siège de la ville de Numance.
De prouesse en prouesse, le lionceau des sables fait ses griffes sur les murs de la ville. Il apprend à rugir. Rentré dans son pays couvert de gloire, il doit faire face aux intrigues de ses cousins Hiemppsal et Adherbal. Le Roi meurt. On essaye d’emprisonner Jugurtha. La guerre civile éclate en Numide.
Vous aimerez aussi
Le mal français
Le Mal français est un essai politique et sociologique d’Alain Peyrefitte publié à la fin de l’année 1976. Peyrefitte se demande dans l’introduction « pourquoi ce peuple vif, généreux, doué, fournit-il si souvent le spectacle de ses divisions et de son impuissance ? ». L’auteur s’insurge contre plusieurs maux français qui forment une sorte de maladie, un « Mal » français : les règles tatillonnes de l’administration, l’excès de bureaucratie, la centralisation, le manque de confiance des entrepreneurs, un État trop dirigiste, etc. Il souhaite de profondes réformes administratives, politiques et sociales, en fustigeant la « société bloquée » française et le pessimisme ambiant. Ce livre connaît un très grand succès de librairie, avec un million d’exemplaires vendus.
101 conseils pour vous soigner par l’homéopathie
Sinusite, grippe, conjonctivite, insomnie, cystite, irritabilité…Contre les petits maux de la vie quotidienne, la médecine traditionnelle est souvent décevante.Pour vous soigner, l’homéopathie peut être d’un grand secours. Le docteur Alain Horvilleur vous propose d’utiliser au maximum toutes ses possibilités.
Nécropolis
Paul Konig est le médecin-chef de l’Institut médico-légal de New York. Avec plus de quarante ans d’expérience, c’est une sommité au diagnostic parfait; son jugement fait loi et tous le respectent. L’implacable médecin n’a qu’une faille : le naufrage de sa vie de famille. Sa femme, morte d’un cancer, sa fille disparue et qu’il sait en danger. Noyant sa peine dans un travail acharné, Konig doit résoudre une affaire peu ordinaire: un véritable cimetière a été retrouvé sur les berges du fleuve. La marée a tout brassé et pêle-mêle se trouvent bras, jambes, doigts, orteils et débris anatomiques. Combien de corps, hommes ou femmes, jeunes ou vieux, comment sont-ils morts et pourquoi sont-ils là? Hanté par la disparition de sa fille, Konig aux doigts de fée reconstitue patiemment les corps mutilés.
Blanche et Lucie
Les deux femmes du roman de Régine Deforges, pour bourgeoises ou rustiques qu’elles soient, et d’ailleurs d’une aristocratie naturelle, nourrissent elles aussi, avec simplicité, une passion amoureuse d’abord comblée, mais que la vie rend héroïque. Quant à la femme qui, à travers la petite fille, dit « Je », Éros, pour elle, est aussi la passion mortelle et la jalousie meurtrière. Éclairs avant-coureurs, bien entendu : nous n’en sommes qu’à l’enfance, première étape d’une autobiographie romanesque où celle qui écrit ne fait pas très bien elle-même la part de l’imaginaire. Par là, autant que par la vivacité de la sensation, le goût de chair et de fruit, la saveur terrienne et terrestre, Régine Deforges est la fille de Colette.