- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jugurtha-1- Le lionceau des sables
Hermann - Vernal
Jugurtha-1- Le lionceau des sables
Un jeune prince trop populaire, que son oncle, le Roi de Numide, essaye d’écarter pour favoriser ses fils. Voilà Jugurtha envoyé en Ibérie pour aider les soldats romains à faire le siège de la ville de Numance.
De prouesse en prouesse, le lionceau des sables fait ses griffes sur les murs de la ville. Il apprend à rugir. Rentré dans son pays couvert de gloire, il doit faire face aux intrigues de ses cousins Hiemppsal et Adherbal. Le Roi meurt. On essaye d’emprisonner Jugurtha. La guerre civile éclate en Numide.
Vous aimerez aussi
Le Refuge et la Source
Rares sont les hommes publics qui, à rebours du temps passé, refont le rude chemin de leurs choix et de leurs partis. Rares ceux qui osent, comme Jean Daniel tamiser au van de la mémoire le sable très ancien où ils ne cessent, à leur insu, d’aller se ressourcer. L’enfance est le secret des chefs, enfouie à jamais dans le soliloque inaugural qui meublait leurs premières rêveries, mais ne revient ensuite, sur les oeuvres de l’âge m-r, que comme leur frange d’écume et presque leur part maudite… Jean Daniel, justement, rompt ce silence obstiné et se risque, pour sa part, aux vertiges du souvenir. Ce monologue enfantin, celui qui poursuit chaque homme jusqu’aux heures les plus noires, mais qui toujours semble en trop, en trop de la vie réelle, il tente d’en nouer les fils et d’y inscrire le dessein d’un récit. Reconstituant ses bribes, ses images fugaces et décousues, il en fait, en une véritable insurrection de l’âme, la méthode inattendue d’une généalogie politique.
Hommage à André Malraux (1901-1976)
N.R.F. n° 295 – Ce volume contient :
La vie :
Marc Chagall, Comme un feu
Jean Lacouture, Un écrivain et le journalisme
Frédéric J. Grover, Entretien sur Maurice Barrès
Julien Segnaire, L’antimilitarisme du «coronel»
Pierre Bockel, Malraux et la foi
Pierre Moinot, A. M. au jour le jour
Bernard Frank (1927-1996), À la source de la cascade
Philippe Médoux, Le Bengale
Louis Bertagna, Il a vécu jusqu’à sa mort
Francis Ponge, Sans titre
L’œuvre :
Georges Anex, La terre insolite
Jacques Chessex, L’inattendu
Alain Clerval, Un autre Flaubert?
Lorand Gaspar, Pour accompagner Malraux
Roger Judrin, Malraux vu par six lucarnes
André Marissel, Entretien du 26 novembre 1975
Jean-Michel Maulpoix, De la métamorphose et de la précarité…
Antoine Terrasse, La nostalgie de Dieu
Robert Mallet, Des images assez puissantes pour nier notre néant
The leavetaking
En anglais – Widely considered one of the greatest Irish writers by readers and critics alike, John McGahern has been called “arguably the most important Irish novelist since Samuel Beckett” (The Guardian) whose “spare but luminous prose” (Chicago Tribune) is frequently compared to that of James Joyce. In The Leavetaking, McGahern presents a crucial, cathartic day in the life of a young Catholic schoolteacher who, along with his new wife, returns to Ireland after a year’s sabbatical in London. Moving from the earliest memories of both characters into the present day, The Leavetaking recounts the couple’s struggle to overcome the suffocating influence of the church in order to find happiness in a fulfilling adult love.
Un seul ennui, les jours raccourcissent
Elle est belle, Lison, blonde aux yeux gris. La vie lui sourit. Et pourtant, elle doute, elle craint.. C’est que, soudain, à quarante ans, elle découvre qu’elle a tout à apprendre, à réapprendre. Sur un coup de cœur, elle vient d’épouser Claude, diplomate à Helsinki, mais le connaît-elle? Elle les aime, ses trois enfants, nés d’un premier mariage, mais pourquoi la regardent-ils ainsi, avec d’autres yeux ? Elle-même, qui est-elle aujourd’hui ? Et puis il y a cette Finlande… où les jours et les nuit jouent à être trop brefs ou trop longs, où d’étranges fêtes païennes saluent la venue de l’été… Avec, en contrepoint, la vie mondaine des ambassades. Et, le temps d’une nuit, Swen, rugueux et tendre…

