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Hermann - Vernal
Jugurtha-2- Le casque celtibère
Après avoir empoisonné l’eau d’une rivière pour tenter d’éliminer Jugurtha et ses hommes, le traitre Vidia et le prince Adherbal s’en vont rejoindre les romains, pour continuer leur complot afin de pousser les légions a partir combattre le héros qui a échappé à l’épidémie. De son côté Jugurtha, fou de colère, décide de prendre le premier l’offensive contre les troupes d’Adherbal, il réussit ainsi à s’emparer du camp ennemi pour ensuite faire le siège de Cirta ou sont rassemblés le reste des troupes romaines ainsi que les hommes d’Adherbal, rescapés. Pris au piège dans la ville, Adhertal décide d’envoyer des messagers auprès du sénat à Rome afin de demander davantage d’aide et surtout afin de présenter Jugurtha comme un envahisseur, un despote cruel qui veut à tout prix devenir le maître de l’Afrique aux dépens de Rome la toute puissante.
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Une initiation à la dégustation des grands vins
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Le mal français
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La plus belle histoire, le plus beau poème dé l’humanité, est la vie d’Alexandre le Grand. Il a eu tout pour lui : il était grec, il était un adonis, il était l’élève d’Aristote et l’amant d’Ephestion, il a épousé une fille du roi des Perses qu’il avait vaincu, il a conquis le monde et il est mort au sommet de sa gloire. Bien qu’il fût le représentant de la Grèce devant ceux qu’elle appelait les barbares, il comprit que l’avenir de la civilisation était de se fondre avec eux, dont l’idéal était aussi respectable. II aura été, en cela, de vingt-trois siècles en avance sur son temps. Il savait par cœur les poèmes d’Homère et les œuvres des grands tragiques. Il était une création de la littérature : son amour pour Ephestion, à qui il ne survécut que six mois, est celui d’Achille pour Patrocle.