- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jugurtha-3- La nuit des scorpions
Hermann - Vernal
Jugurtha-3- La nuit des scorpions
Alors que tout ses amis ont été tués, que ses troupes ont été écrasées, Jugurtha reste enfermé dans une prison de Rome, affamé par ses geôliers. Mais un homme entreprend de sauver le prince de ce calvaire, Chabrias qui servit jadis le cousin cruel de Jugurtha. Souhaitant se racheter auprès de ce dernier il prépare son plan et réussit a s’échapper avec le prisonnier sous le bras. Jugurtha est ainsi prêt à se lancer dans l’aventure à nouveau.
Vous aimerez aussi
Mac Coy – Trafiquants de scalps
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Olivier Rameau -9- La caravelle de n’importe où
Dany (le dessinateur) et Greg (le scénariste) ont un beau jour convenu que le mot » rêveur » était injustement bafoué par les gens trop raisonnables qui, bien souvent, rendent le monde si ennuyeux. Alors, Greg et Dany ont décidé de donner au rêve ses lettres de noblesse. Ils l’ont concrétisé. Rêverose, le pays où tout est possible existe désormais. C’est là que vivent Olivier, Colombe, M. Pertinent et tous les autres. Rejoignez-les…
L’abeille et l’architecte
François Mitterrand est un de ceux qui croient qu’il n’est de bonne écriture qu’exacte. Tandis qu’il mène sa vie d’homme d’action, un autre en lui observe le vent « grande rumeur dans le ciel immobile », garde le rythme des jours avec l’odeur du blé, l’odeur du chêne, la suite des heures. L’écrivain qu’il est laisse place à l’élan du rêve, aux sensations, aux émotions. Il nous donne la Crète, le vertige du Kremlin, les canards sauvages virant de bord à Manhattan, l’angoisse du Japon, son étonnement devant le retournement communiste. L’homme d’Etat dialogue avec Kissinger, venu le voir chez lui à Paris, avec Brejnev – ce qui nous permet de saisir une clef de l’empire soviétique. Il parcourt le monde avec son bâton de pèlerin socialiste.
Tout m’est bonheur
Isabelle, comtesse de Paris, serait la reine de France si la monarchie était rétablie. Rien de plus simple, pourtant, rien de plus familier, que le récit de cette vie quotidienne, de châteaux en palais, de France en Bohême, du Brésil au Maroc, et en Espagne. Vie jalonnée de voyages et de fêtes, de soucis et de drames aussi. Vie de femme, vie de mère : onze enfants, trente-six petits enfants. L’émotion, la drôlerie, la tendresse et une étonnante fraîcheur font de ces souvenirs sans apprêt un récit qui va droit au cœur. Et quand parle la petite fille de Saint Louis et de Henri IV, c’est un chapitre de l’Histoire de France qui s’écrit devant nous.