- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Junie B., First Grader – Shipwrecked
Barbara Park
Junie B., First Grader – Shipwrecked
Hilarious. Barbara Park makes reading fun. » –Dav Pilkey, author of Dog Man Barbara Park’s #1 New York Times bestselling chapter book series, Junie B. Jones, has been keeping kids laughing–and reading–for more than twenty-five years. Over 65 million copies sold! Meet the World’s Funniest First Grader–Junie B. Jones! Room One is putting on a play. And guess what? It’s about explorers looking for the New World! And there’s ships and sea captains and everything! Plus here’s the bestest news of all–Junie B. Jones thinks she might be the star of the whole entire production! Only, sailing the ocean blue is not as easy as it looks, apparently. ‘Cause problems keep on happening. Like the actors keep catching the flu. And bossy May keeps trying to take over the show. Can this play be saved? Will the ships ever get to land? Or is Room One in for a disaster at sea that they will never forget?
Vous aimerez aussi
99 francs
« Un rédacteur publicitaire, c’est un auteur d’aphorismes qui se vendent. » Octave, riche concepteur-rédacteur de 33 ans, se rebelle et s’insurge contre l’univers superfétatoire de la publicité qui brasse des millions d’euros en vendant des produits inutiles à de pauvres ménagères. Le rédacteur publicitaire détient le pouvoir absolu des mots et des formules lapidaires. Il suscite l’envie, influence votre inconscient et décide à votre place ce qu’il vous semblera indispensable d’acheter. À la recherche d’une pureté perdue, Octave écrit son livre pour détruire la publicité et se faire licencier. Mise en abîme de l’acte d’écrire, 99 francs est une avancée narrative qui progresse au rythme de ses réflexions ironiques, de son existence régentée par l’argent, le sexe et la cocaïne. « Tout s’achète : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi. » Ce roman est une sorte de diatribe, de confession enragée scandée par des scénarios publicitaires qui interrompent savamment le récit, non sans dérision. Octave, lucide et critique à l’égard de ce système mercantile n’en est pas moins le jouet et le restera jusqu’au bout. –Nathalie Jungerman
En gros, leur idée c’était de détruire les forêts et de les remplacer par des voitures. Ce n’était pas un projet conscient et réfléchi: c’était bien pire. Ils ne savaient pas du tout où ils allaient, mais y allaient en sifflotant – après eux, le déluge (ou plutôt les pluies acides). Pour la première fois dans l’histoire de la planète Terre, les humains de tous les pays avaient le même but: gagner suffisamment d’argent pour pouvoir ressembler à une publicité. Le reste était secondaire, ils ne seraient pas là pour en subir les conséquences.
Staline – La cour du Tsar rouge
Chronique de la cour de Staline depuis sa consécration comme « chef suprême » en 1929 jusqu’à sa mort, ce livre est aussi une biographie de Staline à travers son entourage le plus proche. Tirant profit de l’ouverture récente de ses archives personnelles, Simon Sebag Montefiore reprend le cours des événements de 1929 à 1953 en se concentrant sur l’univers quotidien du pouvoir absolu et de ses protagonistes, mus par une fidélité parfois déconcertante envers le tyran géorgien. Par ce biais, il nous montre l’envers du décor, principalement la progression de la terreur que Staline met en œuvre avec l’aide d’êtres obsédés par les rivalités permanentes et les désirs mesquins de jouir des moindres privilèges du pouvoir mais constamment angoissés par la peur de la disgrâce imprévisible qui signifiait toujours la mort.
Un génie, ce petit
Un intrigant roman, élégant et caustique, qui relate le destin littéraire d'un surdoué sans oeuvre, opiomane, adoubé par Colette, misanthrope et mondain. Défilent comtesses, baronnes et beaux prolétaires. L'auteur, associé à Grédy comme Flers à Caillavet, a fait les grandes heures du vaudeville d'après-guerre.
Nature morte à la grenade
Les intrigues d’Inga Abele ont pour cadre la Lettonie d’aujourd’hui où ses personnages se débattent dans des relations compliquées et parfois douloureuses. » Analyse profonde, psychologie impitoyable et paysages forts « , voici comment le style de ce jeune auteur est caractérisé par ses pairs. Ce premier livre d’Inga Abele à paraître en français réunit quatre nouvelles traduites du letton par Gita Grinberga et Henri Menantaud : Nature morte à la grenade, Les fleuves de nos pays, Offrez-moi un violon, Les années d’amour.