- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Killer’s wedge
Ed McBain
Killer’s wedge
En Anglais – Her game was death – and her name was Virginia Dodge. She was out to put a bullet through Steve Carella’s brain, and she didn’t care if she has to kill all the boys in the 87th Precinct to do it. So Virginia, armed with gun and bottle of nitroglycerin, spent a quiet afternoon in the precinct house, terrorizing Lieutenant Byrnes and his detectives with her clever little homemade bomb. They all sat there waiting for Steve Carella. Could all the men of the 87th, prisoners of one crazy broad, be powerless to save Carella from his rendezvous with death…?
Vous aimerez aussi
Les Diaboliques
“Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Il n'y en a pas une seule à qui on puisse dire le mot de “Mon ange” sans exagérer. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, – si elles sont des anges, c'est comme lui, – la tête en bas, le… reste en haut !” – Il fallut près de vingt-cinq ans à Barbey pour le voir paraître : il y travaillait déjà en 1850. À la fin de la Commune, Barbey revint en Normandie. Il y acheva le livre en 1873.
The captive
En Anglais – He doesn’t even recognize her, and she in turn feels nothing for him. Renee is now living as an independent woman on a small income from an inheritance. She has left the music hall and is thinking once again of writing seriously. This time, however, she falls in love with her friend May’s lover Jean. Renee is resigned to putting on the shackle when she becomes his mistress. It is the shackle you wear when you fall in love, and cannot extract yourself emotionally.
Le cri du hibou
Robert Forestier semble avoir toujours été la proie du malheur. Une suppression, un mariage raté, l’ont fait fuir New York et l’ont amené à installer dans une petite ville de Pennsylvanie, où il a trouvé un travail qui lui permet de vivre. Cependant, le vide affectif qu’il ressent le pousse à observer une jeune fille par sa fenêtre, sans qu’elle le sache. Il la regarde aller et venir, recevoir son fiancé, vivre sa vie de tous les jours, et ces images lui apportent un bien être dont il ne peut plus se pousser. Jusqu’au jour où, accidentellement, il la rencontre… Et le malheur, qui semblait l’avoir oublié, viendra frapper ceux qui l’approprieront, sans que lui-même soit épargné, jusqu’au cauchemar final qu’il ne pourra éviter.
Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau
(Reliure toile ornée de l’éditeur) – César Birotteau, parfumeur à Paris enrichi par le succès de produits cosmétiques innovants, adjoint au maire et récipiendaire de la Légion d’Honneur, décide de transformer son logement en appartement luxueux pour donner à la fin de l’année 1818 un bal à l’occasion du retrait des troupes d’occupation de la France. Ses projets somptuaires, qui effraient sa femme et son fidèle employé Anselme Popinot (secrètement amoureux de mademoiselle Birotteau), lui donnent un vertige d’ambition qui l’amène à risquer toute sa fortune. Le notaire Roguin flaire en Birotteau une dupe potentielle et il l’entraîne dans une affaire de spéculation immobilière dans le quartier de la Madeleine à Paris. Birotteau a en effet besoin d’argent car les travaux de transformation de sa maison, les frais du bal qu’il veut y célébrer et son projet de créer une succursale pour Popinot exigent des rentrées supplémentaires, qu’il pense obtenir par cette opération immobilière.

