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Ed McBain
Killer’s wedge
En Anglais – Her game was death – and her name was Virginia Dodge. She was out to put a bullet through Steve Carella’s brain, and she didn’t care if she has to kill all the boys in the 87th Precinct to do it. So Virginia, armed with gun and bottle of nitroglycerin, spent a quiet afternoon in the precinct house, terrorizing Lieutenant Byrnes and his detectives with her clever little homemade bomb. They all sat there waiting for Steve Carella. Could all the men of the 87th, prisoners of one crazy broad, be powerless to save Carella from his rendezvous with death…?
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Une femme descend au plus secret de soi, et elle raconte avec une sincérité intrépide, comme s’il n’y avait personne pour l’écouter. » Rien ne résume mieux le récit de Violette Leduc que cette phrase empruntée à la préface où Simone de Beauvoir présente l’auteur et son œuvre. Car La Bâtarde est une autobiographie sans fard et sans remords, une « tranche de vie » de trente années taillée dans le siècle de telle sorte que les deux dernières guerres y sont englobées. Trente ans qui font de l’enfant illégitime un auteur capable de retenir l’attention de grands écrivains contemporains. L’éveil à la vie que raconte Violette Leduc, c’est aussi l’éveil d’une vocation littéraire – un apprentissage qui aboutit à pratiquer l’art d’écrire les sensations glanées au cours d’une marche toujours solitaire bien qu’il y ait eu une Isabelle, une Hermine, un Gabriel pour faire avec elle un bout de la route, et aussi un ange : Fidéline, pour mettre en toile de fond à cette histoire brûlante un peu de ciel bleu découpé dans leur tablier.
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