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Victor Sabardin
La cité des chiens
Il faut le courage du fou pour prendre le risque d’une écriture qui ne cherche pas à plaire. Une écriture qui transporte la réflexion au plus profond de nos oublis et qui sans doute réveille la peur salvatrice de nos interrogations. Ce livre parle et nous parle sans cesse de notre folie ordinaire dans ce microcosme en mouvement que nous croyons être le centre du monde. Il n’y a ni nostalgie ni prétention intellectuelle dans les propos de Victor Sabardin, mais un cri au milieu d’une foule sans voix.
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En avril 1905, Ram et Lucie Pasquier ont déménagé rue du Faubourg-Saint-Antoine où ils élèvent la jeune Suzanne et les différents enfants du clan Pasquier s'épanouissent dans leurs domaines respectifs : Ferdinand vient de se marier et travaille, comme son épouse Claire, dans l'administration ; Cécile développe ses talents de pianiste ; Laurent Pasquier travaille à l'hôpital Boucicaut avec Renaud Censier, un biologiste réputé de cinquante ans qu'il admire ; et Joseph réussit dans de juteuses affaires de mines argentifères au point d'acheter un petit domaine à la campagne, près de Nesles-la-Vallée d'où est issu le patriarche de la famille. Sur une proposition de Justin Weill, l'ami d'enfance de Laurent, ce domaine est baptisé la Pâquellerie, et Joseph projette d'y faire une pendaison de crémaillère somptueuse pour épater son entourage et favoriser la publicité de ses affaires. Il souhaite inviter des politiciens, des artistes, et des scientifiques, dont Censier le patron de son frère …
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