- Home
- >
- Fantastique
- >
- La Cité des Ténèbres – Tome 1 – La coupe mortelle
Cassandra Clare
La Cité des Ténèbres – Tome 1 – La coupe mortelle
Clary n’en croit pas ses yeux. Elle vient de voir le plus beau garçon de la soirée commettre un meurtre. Et détail terrifiant: le corps de la victime a disparu d’un seul coup! Mais le pire reste à venir. Sa mère a été kidnappée par d’étranges créatures et l’appartement complètement dévasté. Sans le savoir, Clary a pénétré dans une guerre invisible entre d’antiques forces démoniaques et la société secrète des chasseurs d’ombres. Une guerre dans laquelle elle a un rôle fatal à jouer.
Vous aimerez aussi
Bruissements d’ailes
Christal. Maud. Krystel. 3 femmes. 3 destins. Des personnalités fortes, des femmes de tête, des blessures secrètes. Une mère. Une épouse. Une soeur. Malgré les distances qui les séparent, malgré les époques qui les éloignent, 3 femmes nées pour se rencontrer. Et ne faire qu’une ?
Pèlerins des ténèbres
Frère Guillaume a commis un lourd péché d’orgueil : il a cru qu’il serait plus fort que les autres, que lui réussirait à mener à bien ce pèlerinage à Saint-Gaudémon qui a pourtant déjà coûté tant de vies. Erreur. Les pièges de l’Enfer se sont abattus sur la troupe et lui seul a réussi à survivre. Pour son malheur. Mis au secret dans sa propre abbaye, il implore la mort, convaincu d’être à son tour possédé du démon. Mais au fait, que se passe-t-il vraiment dans ces montagnes maléfiques ? Ce n’est tout de même pas Marion, la jeune tailleuse de pierres, qui va le découvrir… Si ? // Incroyable Brussolo. On l’attend dans le roman noir et il surgit avec « Pèlerins des ténèbres » dans les maléfices du Moyen Âge. On tremble beaucoup avec la jeune Marion des Pierres dans ce récit mené comme d’habitude de main de maître. –Bruno Ménard
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…