Susan Madison
La couleur de l’espoir
Lorsque le malheur les frappe, les Connelly sont en vacances en Nouvelle-Angleterre, dans leur propriété familiale, comme chaque été. Josie, la fille aînée, disparaît en mer sous les yeux des siens, impuissants. Sa famille est effondrée. Comment continuer à vivre ? Comment dépasser le sentiment de culpabilité ? Chacun se retranche derrière un douloureux mutisme et Ruth, mère déchirée et brillante avocate d’affaires de Boston, décide de fermer pour toujours leur maison secondaire. Pourtant, le corps de Josie n’ayant toujours pas été retrouvé, elle garde espoir. Soutenue par la force de son intuition, Ruth va tout faire pour restaurer l’équilibre familial et pouvoir enfin affronter la vérité sur les lieux du drame?
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Judy Hammer, ex-responsable de la police de Charlotte, et ses adjoints Andy Brazil et Virginia West, sont nommés au même poste pour un an à Richmond, Virginie. Autrement dit, dans le Sud, où la ségrégation n’est pas encore un mauvais souvenir. Leur mission : rétablir l’ordre et neutraliser les gangs, en particulier les Piranhas, une bande de très jeunes délinquants qui n’hésitent pas à tuer pour quelques dollars. L’enquête et la traque de Smoke, le plus dangereux de ces criminels, est perturbée par des Sudistes n’aimant pas tout ce qui vient du Nord et par des policiers dont l’intégrité n’est pas la qualité première.
Portrait d’une jeune fille anglaise
Le titre original de l'ouvrage Kiss and Tell (Embrasse et raconte) suggère l'intimité du narrateur, tout occupé à dresser la biographie de sa petite amie, la gracieuse Isabel qui mange des carottes aux arrêts d'autobus, préfère la margarine au beurre, déteste les cornichons, Milton et sortir la poubelle le mardi, mais adore en revanche Vaclav Havel, le jus d'orange et lire dans son bain.
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« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
Chirac – Père et fille
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