- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- La famille Oboulot en vacances
Jean-Marc Reiser
La famille Oboulot en vacances
Comme l’a expliqué l’un de nos ministres: les Français sont civils, bien intentionnés et pleins de prévenance ! Surtout en vacances ! Il n’y a bien que Reiser pour dépeindre la famille française comme beauf, mal élevée et imbuvable ! Sans rire, on ferait bien d’envoyer les albums de Reiser aux membres du gouvernement: ils prendraient une bonne leçon de lucidité et de bienveillance ! Sorte d’équivalent graphique d’un Coluche (avec qui il a d’ailleurs créé les Sales Blagues), il apportait le recul intelligent de son trait qui fait mouche ! Voici la dernière des rééditions des indémodables et inclassables oeuvres du grand Reiser.
Vous aimerez aussi
Plumes de sang
John Wolf est un véritable loup que l'unique désir de vengeance habite. Il veut la destruction de ce monde dont il a été injustement la victime. Pour lui, une seule manière de rétablir l'ordre : le meurtre.
Depuis des années, il chasse et traque ses victimes avec un sadisme sans cesse renouvelé, en toute impunité. Malgré quarante-deux meurtres déjà perpétrés, il persiste sans que les enquêteurs aient jamais pu le confondre ou même établir un lien entre tous ces crimes. Et pourtant, la prochaine victime n'est-elle pas une proie trop idéale pour ne pas tout faire basculer ?
Une lente valse macabre commence.
Un thriller insolite et dérangeant, mené avec une virtuosité inouïe par John Philpin et Patricia Sierra, qui dressent le fascinant portrait d'un homme au double visage : citoyen ordinaire et serial killer.
La virginienne
L'une des plus, grandes histoires d'amour de l'Amérique est aussi l'une des moins connues et des plus controversées. Thomas Jefferson, le troisième président des Etats-Unis et l'auteur de la Déclaration d'Indépendance, eut pendant trente-huit ans une maîtresse, la belle et mystérieuse Sally Hemings, qu'il aima et avec laquelle il vécut jusqu'à sa propre mort à l'abri des murs de Monticello, la plantation qu'il possédait en Virginie. Mais ce qui choqua ses contemporains ne fut pas simplement que Jefferson eût une maîtresse. Le vrai scandale vint de ce que Sally Hemings était une esclave quarteronne et de ce que Jefferson engendra avec elle une famille d'esclaves dont de nombreux descendants, connus et inconnus, vivent de nos jours. Cette liaison étrange et passionnée commença dans le Paris de 1787, où Jefferson était ambassadeur de la jeune république américaine auprès de la Cour. Sally n'avait pas alors plus de quinze ans.
En plein jour
1947. Quentin et Elizabeth roulent vers Key Largo. Face à un véhicule lancé à toute bombe, leur voiture fait une embardée et plonge dans l'eau noire du lac Surprise. Seul survivant : Thom, leur fils nouveau-né. 1966. Thom surprend un homme à son domicile, l'oblige à monter dans la Buick garée devant la porte… et lui offre un vol plané au-dessus du lac. Dallas James, ancien chauffard, a enfin payé son crime. Mais vingt ans plus tard, c'est la mère adoptive de Thorn qu'on assassine sauvagement, sur son bateau. Thorn pourra-t-il, une fois de plus, jouer les justiciers ? Et dans cette histoire, quel est le rôle de Sarah, son énigmatique maîtresse ? Dans quel camp est-elle ? Ecologie, marijuana, promoteurs et avocats véreux… Combien de secrets, combien de cadavres gisent au fond du lac Surprise ?
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.