Hichem Aboud
La mafia des généraux
Livre dissident, livre de témoignage et de révélation, livre de mémoire, d’histoire et de justice, La Mafia des généraux révèle la part d’ombre, les dix ans de guerre civile, les centaines de milliers de victimes, et les milliards détournés qui font la réalité de l’Algérie d’aujourd’hui. Voici, raconté de l’intérieur, comment le cabinet noir, par le crime et la corruption, puis la Terreur, a assis son pouvoir sans partage sur les institutions, l’économie, les hommes, tout en manipulant jusqu’à ses ennemis supposés.
Vous aimerez aussi
Le Président
5 mai 2002. Paul Berthier est réélu au second tour des élections présidentielles devant le chef de l’extrême droite. Pour remercier le jeune Arnaud Bressard, le président le nomme assistant de Pierrat, son vieil ami et conseiller spécial. Le premier ministre Dumay gouverne le pays en s’efforçant d’éviter les remous, pendant que l’ambitieux ministre de l’intérieur Rambaud multiplie les apparitions publiques et renforce les mesures sécuritaires dans le pays. Soudain, une vague d’attentats déferle sur la France, semant la peur et la consternation. Grâce aux informations fournies par sa maîtresse, la belle banquière Heliana, Arnaud découvre qu’une organisation mafieuse qui blanchit des milliards se cache derrière ces troubles.
Conversation avec Bernadette Chirac
Format poche – « J'aimerais que les Français sachent ce qui constitue (…) ma personnalité, qu'ils comprennent que j'ai tenté d'être utile aux autres ». Car, attention, Bernadette Chirac n'est pas l'ombre de son mari, accrochée à son sac à main, mais un être à part entière. Qu'on se le dise. Elle est une femme d'action, de terrain : son engagement dans le combat humanitaire (sa fondation, l'opération Pièces jaunes, son projet de Maisons des adolescents, son travail avec les Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France…) et son implication dans la vie politique locale en Corrèze le prouvent. Cet ouvrage est là pour le rappeler… et pour mieux faire connaître la femme qu'elle est réellement, loin de l'image distanciée et timide qu'en ont fabriquée les médias.
Sur la frontière
Né à Strasboueg dans une famille religieuse, Michel Warschawski part en Israël à l'âge de seize ans. Fondamentalement engagé pour la paix, il y deviendra une des figures les plus connues de la gauche radicale israélienne. Cet ouvrage raconte son parcours, son engagement ; l'auteur y mêle analyses précises et lucides des évolutions politiques israéliennes et évocation d'amitiés ou d'émotions ressenties dans les combats partagés. Il puise ses références dans la tradition talmudique, dans l'histoire du socialisme révolutionnaire et donne l'esquisse d'une synthèse possible au-delà du sionisme. Et lorsqu'il évoque les déceptions d'après Oslo, il ne manque pas d'affirmer son espoir qu'une paix juste puisse un jour s'imposer dans cette partie du monde.
La Bible : le code secret II
« Le 11 septembre 2001, j’ai été réveillé par une explosion qui a changé à jamais la face du monde: un avion venait de s’écraser sur le World Trade Center. Je suis monté sur le toit de mon immeuble juste à temps pour voir un deuxième avion percuter les tours. Ce n’était pas un accident. C’était une attaque terroriste. » J’ai dévalé l’escalier et me suis précipité sur mon ordinateur pour scruter le code ancien, le code secret de la Bible. Je savais que j’y trouverais une confirmation, voire une révélation de ce que le sort nous réservait. » Ce dont je venais d’être témoin y était décrit, en caractères hébreux. « Tours jumelles » était codé dans l’antique texte sacré. « Avion » apparaissait précisément au même endroit. Et, transversalement à ces deux mots: « Il a causé la chute, abattu. » L’attentat du 11 septembre 2001 avait été codé dans la Bible trente siècles plus tôt. »Démontrée par un grand mathématicien, portée à la connaissance du public par un livre au retentissement mondial, l’existence d’un code caché dans le texte même de la Bible a suscité un ardent débat. Or, les prédictions du code ne cessent de se vérifier – et leur message ne peut qu’inquiéter. Sommes-nous entrés dans « la fin des jours ? »