- Home
- >
- Science-fiction
- >
- La mort blanche
Frank Herbert
La mort blanche
Lorsque la voiture piégée explosa dans une rue de Dublin, John O’Neill vit mourir sa femme et ses deux fils par la faute d’un terroriste. Il était un génie, il devint le Fou. Il avait perdu toute raison d’exister sauf une, la vengeance : il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière. Seul, dans son laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes, toutes les femmes, sans remède.
Vous aimerez aussi
Netwar – la guerre des réseaux
Cosmos 1692, le plus silencieux des satellites soviétiques, espionne sans répit le territoire Américain. A l’écoute du ciel, Serguei Voronone refugié aux U.S.A tente de percer son mystére …
Prisonniers du temps
ITC, entreprise de technologie de pointe, mène d’importantes recherches dans le plus grand secret … Pourquoi s’intéresse-t-elle aux travaux de l’équipe d’historiens qui, dans la vallée de la Dordogne, a entrepris sous la direction du professeur Johnston, des fouilles autour d’un monastère du XIVe siècle? Pour éclaircir la question, Johnston se rend en Arizona. Et disparaît …
Deux jours plus tard, un parchemin vieux de six cent cinquante ans est mis au jour. Son message, « A l’aide », est signé du professeur Johnston … Dans Prisonniers du temps (…), Crichton bricole la théorie quantique pour expédier des étudiants archéologues dans la Dordogne de 1357, en pleine guerre de Cent Ans.
L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.
Cailloux dans le ciel
Pour Joseph Schwartz, la chose arriva à l’instant où il avait un pied en l’air. Il se trouvait dans la banlieue de Chicago et s’apprêtait à enjamber une poupée de chiffon. Lorsqu’il reposa le pied, après avoir éprouvé une fugitive impression de vertige, sa chaussure s’enfonça dans l’herbe. Il était alors dans une forêt. Ce qu’ignorait Joseph Schwartz, c’est qu’il ne s’était pas déplacé dans l’espace, mais qu’il avait effectué un immense bond dans le temps. Désormais, la Terre n’était plus qu’une petite planète d’intérêt stratégique secondaire dans l’immense empire galactique dirigé depuis Trantor. La présence d’un homme venu du passé ne va-t-elle pas modifier les rapports de force existant entre les Terriens et la garnison de soldats impériaux ?