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Gerry Marino Francine Fortier
La nouvelle famille
Vous allez refaire votre vie, vous avez des enfants, votre nouveau conjoint aussi ? Votre objectif : refonder une famille, construire un foyer stable et fort. Comment composer avec une progéniture issue de mariages antérieurs ? Comment faire cohabiter beaux-parents, beaux-enfants, demi-frères, demi-sœurs ? Quels sont les droits des uns et les devoirs des autres ? Comment concilier intimité conjugale et exigences de la vie familiale ? Comment s’aimer, se préserver pour donner à chacun sa vraie place, celle qui garantira à tous un juste équilibre et un épanouissement des sentiments ? Exemples à l’appui, ce livre offre des solutions adaptées à chaque famille et à chaque personne. Il aide à faire un succès d’une aventure à priori hasardeuse.
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Parlez-vous franglais ?
Les Français passent pour cocardiers ; je ne les crois pas indignes de leur légende. Comment alors se fait-il qu'en moins de vingt ans (1945-1963) ils aient saboté avec entêtement et soient aujourd'hui sur le point de ruiner ce qui reste leur meilleur titre à la prétention qu'ils affichent : le français. Hier encore langue universelle de l'homme blanc cultivé, le français de nos concitoyens n'est plus qu'un sabir, honteux de son illustre passé. Pourquoi parlons-nous franglais ? Tout le monde est coupable : la presse et les Marie-Chantal, la radio et l'armée, le gouvernement et la publicité, la grande politique et les intérêts les plus vils. Pouvons-nous guérir de cette épidémie ? Si le ridicule tuait encore, je dirais oui.
C’est en 1931 que Bernanos fait paraître sa Grande peur des bien-pensants, son premier pamphlet, dénonciation violente de la faillite morale et politique de la bourgeoisie française. Bien penser équivalait alors au pharisaïsme bourgeois, au conformisme des classes possédantes, à ce consensus de façade prétendant réglementer les comportements et les discours, tandis que les pires compromissions et turpitudes pouvaient se donner libre cours dans l’ombre. De nos jours, la bienpensance n’est plus l’apanage de la bourgeoisie, grande, moyenne ou petite. L’avènement des médias de masse a permis la diffusion, dans toutes les couches sociales, d’une idéologie du consentement qui va résolument à l’encontre du célèbre aphorisme d’Alain : » Penser, c’est dire non. » De nombreux cercles intellectuels sont également touchés par le phénomène qui, né d’un relativisme diffus, transforme l’originalité en orthodoxie, et fait de l’anticonformisme affiché une manière banalisée d’être conformiste.
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