- Home
- >
- Science-fiction
- >
- La nuit des temps
René Barjavel
La nuit des temps
Dans l’immense paysage gelé, les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé sous-glaciaire. Un incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal. Il y a un émetteur sous la glace… Que vont découvrir les savants et les techniciens venus du monde entier qui creusent la glace à la rencontre du mystère ? « La nuit des temps », c’est à la fois un reportage, une épopée mêlant présent et futur, et un grand chant d’amour passionné. Traversant le drame universel comme un trait de feu, le destin d’Elea et de Païkan les emmène vers le grand mythe des amants légendaires.
Vous aimerez aussi
Les fontaines du paradis
Né en 1917 en Angleterre. Journaliste scientifique et auteur de romans de science-fiction mondialement célèbre. 2001 — L’Odyssée de l’espace, Les enfants d’Icare, Avant l’Eden, Rendez-vous avec Rama … // Lorsque Vannevar Morgan arrive à Taprobane un jour de l’an 2142, cet ingénieur de génie — à qui la Terre doit déjà le Pont qui unit l’Europe à l’Afrique — est tout entier tendu vers un nouveau projet. Il veut construire un immense Transporteur Spatial qui, grâce à un réseau de cristal de diamant, reliera la Terre à l’Espace, sera comme un escalier menant aux étoiles. Ce sera le début de la civilisation interplanétaire. Un obstacle demeure. Il n’y a pour le Transporteur qu’un seul site d’implantation possible : le sommet de la Montagne Sacrée de Taprobane. Et là, dans un monastère, des moines prient depuis un temps immémorial… L’ingénieur et le vénérable gardien du lieu s’affrontent. Le dynamisme de la science contre la foi inébranlable, la technologie conquérante contre la sagesse sans armes…
Netwar – la guerre des réseaux
Cosmos 1692, le plus silencieux des satellites soviétiques, espionne sans répit le territoire Américain. A l’écoute du ciel, Serguei Voronone refugié aux U.S.A tente de percer son mystére …
L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.
No pasarán, le jeu
Un magasin spécialisé, une caverne d'Ali Baba pour fanatiques de simulation sur petit écran. Mais le marchand, un vieil homme, remarque sur la poitrine d'Andreas un insigne auquel ses camarades n'avaient pas accordé d'attention. Il murmure « Ça ne finira jamais… » et leur donne un jeu. En leur ordonnant d'y jouer. Un jeu « d'enfer ». Quand le virtuel rejoint le réel, quand le passé pare l'actualité d'un désagréable air de déjà vu, le frisson n'est pas loin. Celui qui attend les trois héros de cette histoire est du genre « grand frisson ». Ils en ressortiront profondément bouleversés, tout comme le lecteur de ce roman qui se déroule sur fond de guerre, proche et lointaine à la fois, en Bosnie, et où ressurgissent les fantômes des poilus de 14-18, des martyrs de la guerre d'Espagne, des déportés de la Seconde Guerre mondiale. Une plongée passionnante dans l'étrange et dans la réalité, en même temps qu'une terrifiante approche des sentiments humains les plus vils.

