- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- La saga du Grizzli
Vaxlaire, Faure
La saga du Grizzli
Claude Auclair est un dessinateur et scénariste de bandes dessinées. À la suite de ses études aux Beaux-Arts de Nantes, il devient au milieu des années 1960 décorateur de théâtre. Lassé, il arrête en 1967 et part en voyage autour de la Méditerranée.
Vous aimerez aussi
Histoire de la littérature française, de Chateaubriand à Valéry
« Les textes littéraires appartiennent à tout le monde ; or, tout le monde n’est pas aujourd’hui en mesure de percevoir les significations, les enjeux, les attraits des faits culturels. Cela exige une information de base, et une maîtrise suffisante de la perspective historique. » – Marie-Madeleine Fragonard
Tanamera 2
Julie Soong et Johnnie Dexter… Entre eux est née une passion impétueuse, totale, et interdite. Interdite parce que Johnnie est anglais, Julie chinoise, et que Singapour, en ces années 30, pèse sur eux de toute la tyrannie de ses préjugés, de ses tabous raciaux. Alors, puisque le mariage leur est à jamais refusé, ils s’engagent, follement, dans une liaison secrète, fragile, exaltante, périlleuse… Dans leur sillage, le lecteur, fasciné d’abord par les multiples splendeurs de Singapour, sera bientôt emporté au travers d’un tumultueux demi-siècle d’histoire. Dans la tourmente de l’invasion japonaise, que sont devenus les amants fugitifs ? La victoire de la liberté saura-t-elle être aussi la leur ?
Le Grand Livre des Parents
Cornelia Quarti, agrégée de psychiatrie, assistant des Hôpitaux de Paris, déjà auteur de Profession Parents (Stock, 1978), rassemble ses connaissances et le fruit de trente ans d’activité professionnelle pour diriger la rédaction du Grand livre des parents.
La veuve Egalité
Les révolutionnaires qui eurent l’idée de rebaptiser Louis XVI Louis Capet et sa veuve, « la Veuve Capet », crurent assurément avoir touché au but, à savoir humilier le plus bassement possible leurs victimes. Mais l’Histoire a de ces retours inattendus et féroces que plus d’un politicien devrait garder en mémoire, ne serait-ce que pour se préserver lui-même. Ainsi, le surnom de la Veuve Capet est désormais synonyme de martyre et le restera encore pour longtemps. Le terme n’a plus rien d’humiliant, hormis pour ceux qui le forgèrent. En revanche, le titre « la Veuve Egalité » provoque immanquablement la grimace et suscite le mépris non certes par la faute de celle qui se retrouva le porter mais à cause de celui sans qui il n’aurait jamais vu le jour, Louis-Philippe-Joseph d’Orléans, arrière-petit-fils du Régent et de Melle de Blois, fille légitimée de Louis XIV et de Mme de Montespan, par conséquent arrière-arrière-petit-fils de Monsieur, frère de Louis XIV et de la princesse Palatine et, de ce fait, arrière-arrière-petit-neveu du Roi-Soleil en personne ….. L’ouvrage de Michel de Decker n’ait peut-être pas le meilleur sur la question mais il a au moins le mérite de faire sortir de l’ombre celle qui, quoi que l’on en dise, fut bien plus que la simple Veuve Egalité.