Marc Traverson
La vie privée des animaux de compagnie
Plus de 35 millions d’animaux familiers en France : chiens, chats, canaris….. Ils font partie de notre univers sociologique, économique et affectif. Vétérinaire, Marc Traverson porte un regard critique et amusé sur la société des animaux de compagnie et nous apprend à vivre en bonne entente avec eux.
Vous aimerez aussi
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.
En plein jour
1947. Quentin et Elizabeth roulent vers Key Largo. Face à un véhicule lancé à toute bombe, leur voiture fait une embardée et plonge dans l'eau noire du lac Surprise. Seul survivant : Thom, leur fils nouveau-né. 1966. Thom surprend un homme à son domicile, l'oblige à monter dans la Buick garée devant la porte… et lui offre un vol plané au-dessus du lac. Dallas James, ancien chauffard, a enfin payé son crime. Mais vingt ans plus tard, c'est la mère adoptive de Thorn qu'on assassine sauvagement, sur son bateau. Thorn pourra-t-il, une fois de plus, jouer les justiciers ? Et dans cette histoire, quel est le rôle de Sarah, son énigmatique maîtresse ? Dans quel camp est-elle ? Ecologie, marijuana, promoteurs et avocats véreux… Combien de secrets, combien de cadavres gisent au fond du lac Surprise ?
L’homme qui voulait voir Mahona
1528. Une petite flotte de caravelles aborde les côtes inconnues de la Floride. Trois hommes survivent à l'expédition, anéantie par les naufrages, les épidémies et les flèches indiennes. Nunez Cabeza de Vaca, noble andalou, découvre, au lieu de l'Eldorado promis, des villages faméliques peuplés de primitifs candides, malades, profondément religieux. Au nom du Christ, ses compatriotes se livraient à des massacres. Au nom de Mahona, divinité de ces peuples, le conquistador apporte la paix, la guérison et l'amour. Une extraordinaire épopée commence, à la fois récit authentique et œuvre soulevée par la passion humaniste, le souffle de l'aventure et de la poésie, contée avec le style, l'art et la magie d'Henri Gougaud.
La malédiction des colombes
« L’homme répara le fusil et la balle glissa en douceur dans la Chambre. Il l’essaya plusieurs fois, puis se leva et se tint au-dessus du berceau… L’homme épaula le fusil. Autour de lui, dans la pièce close, l’odeur du Sang frais montait de toute part. »
Considérée comme l’une des grandes voix de la littérature américaine contemporaine, Louise Erdrich bâtit, livre après livre, une œuvre polyphonique à nulle autre pareille. Dans ce roman riche et dense, elle remonte le fil de l’histoire collective et individuelle, explore le poids de la culpabilité et le prix de l’innocence.
Depuis toujours, la petite ville de Pluto, Dakota du Nord, vit sous « la malédiction des colombes » : les oiseaux dévorent ses maigres récoltes comme le passé dévore le présent. Nous sommes en 1966 et le souvenir de quatre innocents lynchés cinquante ans auparavant hante toujours les esprits. En écoutant les récits de son grand-père indien qui fut témoin du drame, Evelina, une adolescente pleine d’insouciance, prend soudainement conscience de la réalité et de l’injustice…
« Un chef-d’œuvre éblouissant. »
Philip Roth
« Une prose qui allie le réalisme magique de Garcia Màrquez et le rythme narratif de Faulkner… Compassion, humour, et la passion dénuée de sensiblerie d’un écrivain qui sait que la tragédie et la comédie sont inéluctablement liées. »
The New York Times