- Home
- >
- Fantastique
- >
- Le carnets du ravage
Frédérique Lorient
Le carnets du ravage
Faëlle est belle comme un ange. C’est aussi une adolescente presque sans histoire, bien décidée à s’intégrer dans son nouveau lycée. Mais cette rentrée n’est pas comme les autres : des gens autour d’elle changent de comportement, deviennent agressifs, dépressifs ou violents. Fëlle découvre qu’ils sont victimes des Ravageurs, invisibles semeurs de folie et de mort venus d’un autre monde aux couleurs éclatantes, la Lande. Et si Faëlle était liée à ce monde elle aussi ? Faëlle… ou Raphaëlle, ange implacable du Ravage.
Vous aimerez aussi
L’enfer des rêves
Deirdre Vale, seule rescapée avec sa fille Laney, 12 ans, d’un drame épouvantable, travaille à la clinique psychiatrique du docteur Devane, spécialiste des enfants autistes.
La jeune femme possède un véritable don : celui d’entrer dans les rêves de ses semblables, de manipuler ainsi leurs désirs les plus inconscients, leurs peurs les plus secrètes. Le jour où une religieuse expulsée du Guatemala à cause de son activisme politique et social arrive à la clinique, Deirdre est loin de se douter de l’implacable mécanique qui va l’emporter. On retrouve dans ce récit aux nombreux rebondissements, où l’on va de surprise en surprise, tous les thèmes chers à Theodore Roszak, que ce soit l’exploration de l’inconscient, le complot ou la corruption du pouvoir. Une fois encore, l’auteur traite de la liberté de l’homme et de la lutte sans fin entre le bien et le mal.
La Cité des Ténèbres – Tome 1 – La coupe mortelle
Clary n’en croit pas ses yeux. Elle vient de voir le plus beau garçon de la soirée commettre un meurtre. Et détail terrifiant: le corps de la victime a disparu d’un seul coup! Mais le pire reste à venir. Sa mère a été kidnappée par d’étranges créatures et l’appartement complètement dévasté. Sans le savoir, Clary a pénétré dans une guerre invisible entre d’antiques forces démoniaques et la société secrète des chasseurs d’ombres. Une guerre dans laquelle elle a un rôle fatal à jouer.
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.