- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le mercenaire -4- Le sacrifice
V. Segrelles
Le mercenaire -4- Le sacrifice
Roi de l’heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
Vous aimerez aussi
Les charbonniers de la morts
Un homme noir à l’odeur de forêt arrive à Combe-Madame, dans la montagne de Lure. Il apporte un précieux adjuvant au produit aphrodisiaque que son frère Attilio, pauvre charbonnier, vend aux notables du village. Le petit Rosito est déjà parti sur son âne livrer les cornets de poudre pour la fête « galante » de la Saint-Pancrace. Le président Serenne, le notaire Boutedieu et sa « particulière » meurent d’amour. Le minotier se jette dans une fosse. Le conseiller d’Ardantes et le sous-préfet sont malades. Un seul indice pour le brigadier Laviolette : un rempailleur de chaises a croisé un enfant sur un âne, qui portait dans sa main comme un bouquet de cornets gris, et laissait derrière lui une odeur de souris. D’autres savent et se taisent. Et voilà que le mystère s’épaissit encore, se complique d’autres morts, et que de plus en plus de monde semblent mêlé à cette énigmatique affaire…
Le Royaume du Nord – Tome V – L’Angélus du soir
Bien des hivers ont passé sur le Royaume du Nord. Sur les rives glacées de l’Harricana, les cités pionnières ne sont plus que villes fantômes. Labrèche reste seul désormais, gardien obstiné de cette terre. Seul avec son cheval, dernier témoin de sa solitude et de son labeur harassant. L’irréductible maudit les déserteurs, amis, voisins, enfants, tous enfuis vers ces grandes métropoles de bureaucrates et de mécaniciens. Mais pourquoi s’écharne-t-il ainsi ? Pourquoi, dans ses rêves et ses hallucinations, feint-il de croire que la vallée vit encore ? Est-ce folie, est-ce prescience ? Labrèche sait qu’un jour, ils reviendront et que l’angélus sonnera à nouveau au clocher de Val Cadieu.
Les loups de Lauzargues – 3 – Félicia au soleil couchant
Après Jean de la Nuit et Hortense au point du jour voici le troisième volet des aventures d’Hortense de Lauzargues, jeune héritière, riche, belle et passionnée, et de son amie Félicia Orsini, comtesse Morosini qui, par vengeance, a voué sa vie à la restauration de l’Empire français.
Comme dans les deux précédents volumes, le coeur d’Hortense demeure attaché à cette sauvage région de l’Auvergne, où elle a rencontré et aimé d’un amour impossible le meneur de loups que l’on appelle Jean de la Nuit.
Pour venir en aide à Félicia, Hortense devra rejoindre le Paris de Louis-Philippe où l’attendent d’étranges surprises. Mais il lui faudra cette fois aller beaucoup plus loin, jusqu’au rives du Danube où à Vienne, l’Aiglon, captif de Metternich, rêve de gloire et s’étiole au son des valses de Strauss et de Lanner.
Ce roman galope sur les chemins de la peur et de l’intrigue mais aussi de l’amour, et c’est toute une époque qui se déroule au fil des pages pour réveiller la passion, rafraîchir la mémoire et redonner le goût d’un autrefois plein de charme et de couleur.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »